Septembre 2020

Comme en août, j’ai encore aligné un mois très foot, Tour de France et JV. Je n’ai pas eu beaucoup de temps à consacrer aux séries et films, mais j’ai quand même de quoi blablater !

 

Lectures

Bon, pas ici en tout cas…

 

Jeux vidéo

Toujours sur le même rythme que les mois précédents, j’accumule 90h de jeu en septembre, soit tout pile 3h/jour, pour 10 jeux joués

FIFA 20 (2019 – PC)
+20h => 79,5h de jeu – EN COURS

FIFA 20 fait un retour remarqué ! Le mois passé, je l’avais totalement délaissé et là, j’y ai repris goût en le rachetant 5€ sur PC. Faut dire que je suis reparti de D10 en mode saisons, et je suis remonté en D1 avec une série exceptionnelle de victoires comme je n’en avais jamais connu. Fin du mois, j’avais quand même un ratio de 60 victoires pour 10 défaites. Je crois que je vais m’arrêter là-dessus :D 

Je sais pas si j’ai pété le système de matchmaking, mais c’était assez hallucinant de rouler autant sur les gens. Pour donner un exemple, j’ai même battu un mec 10-0 en D2 ! W.T.F.

Maintenant que je suis en D1, c’est moi qui me fait rouler dessus, j’ai envie de péter ma manette :S  Le jeu de la rage. C’est vraiment pas bon pour les nerfs.

 

Crusader Kings III (2020 – PC)
12,5h de jeu – COMMENCE

Après avoir enfin accroché à Crusader Kings 2 en juin, voilà le nouvel opus !

Cest une claque. La carte du monde, le cœur du jeu, n’a jamais été aussi belle. Les personnages sont magnifiques. Les menus sont beaucoup plus clairs. Le système d’infobulle dans les infobulles est génial. C’est franchement tout ce qu’on pouvait rêver de mieux pour un Crusader Kings.

Par contre, c’est toujours aussi chronophage. Au moins autant qu’un Football Manager. J’ai l’impression de ne pas beaucoup avancer. Je passe beaucoup de temps à réfléchir aux implications de mes choix. Pour l’instant, j’ai continué la partie du tutorial, avec le Petit-roi irlandais. Mon personnage est déjà mort plusieurs fois. On joue ensuite son héritier. Le seul game over qu’on peut avoir, c’est si justement, on n’a plus d’enfant. Ici, sinon, j’ai conquis toute l’Irlande et je me bats contre mes voisins écossais et anglais. Je vais bientôt avoir le Pays de Galles !

 

Carrion (2020 – PC)
+5,5h => 6,5h de jeu – TERMINE

C’est un bon petit jeu indé, que je n’aurais surement pas joué s’il n’était pas dans le Xbox Game Pass. Estimé entre 4 et 5h, je suis étonné d’y avoir passé plus de temps que prévu. 

J’ai bien aimé le concept de contrôler ce monstre difforme. On dirait presque celui de Stranger Things :D

C’est juste un peu dommage que les environnements soient un peu toujours la même chose. Je me suis beaucoup perdu dans les couloirs de ce laboratoire souterrain. Dans les bons points, j’ai bien aimé les différents pouvoirs qui se débloquaient au fur et à mesure. Et la taille du monstre qui finit presque par prendre tout l’écran. L’animation procédurale des tentacules est vraiment bien foutue ! C’est un bon jeu pour Halloween !

 

Sports

Le Tour de France a encore été passionnant, même si ce n’était quand même pas pareil avec la situation sanitaire. Même si j’ai essayé de tout suivre, même en double écran pendant la journée de boulot, je n’ai suivi que 8 étapes en septembre (soit 10 étapes / 21 en tout). Il y a eu pas mal de surprises, comme cette victoire finale sur contre-la-montre de Pogacar ou encore la révélation du jeune Marc Hirschi.

J’ai aussi regardé 2 GP de Formule 1 en Italie, avec la surprise Gasly à Monza notamment.

Niveau foot, je n’ai regardé « que » 13 matchs. 

  • 6 matchs de Ligue 1 
  • 4 matchs de Premier League
  • 2 matchs de Ligue des Nations
  • 1 match de Bundesliga

 

Séries

Comme le mois passé, ça n’a pas été la joie.

Seulement 20 épisodes vus, soit 0,7 ep/jour, pour 16h, soit 0.5 h/jour.

Comme je l’expliquais le mois passé, c’est rare, mais c’est donc un deuxième « mois OFF » côté séries. Tant pis, je n’étais pas très chaud, ça reviendra !

 

J’ai quand même encore fini 2 saisons !

Perry Mason saison 1
8 épisodes de 55 min
Diffusée sur HBO entre juin et août 2020
Fiche Seriebox

1932, Los Angeles. Alors que le reste du pays se remet de la Grande Dépression, la ville est en plein boom. Pétrole, Jeux Olympiques, ferveur évangélique ! Mais quand l’affaire de la décennie arrive entre les mains de Perry Mason, le jeune détective privé se lance dans une quête de la vérité qui va révéler les fractures de la Cité des Anges. Et par la même occasion ouvrir la voie à la propre rédemption de Mason…

J’ai assez peu vu les anciennes séries Perry Mason donc je découvrais ce fameux avocat dans cette nouvelle version HBO. Ils en ont fait une origin story dans le L.A. des années 30. Malgré le soleil de la Cité des Anges, on est sur une affaire bien sombre avec un enfant kidnappé assassiné. Perry Mason est fauché, désabusé, violent. Un bon anti héros. J’ai vraiment bien aimé la prestation de Matthew Rhys. Ca m’a donné envie de me remettre à The Americans (où je n’ai vu qu’une saison sur les six). A ses côtés, Juliet Rylance n’est pas en reste dans le rôle de Della Street. J’espère qu’on la verra encore plus dans la saison 2, tout comme Chris Walk qui interprète Paul Drake, policier noir qui doit se plier aux directives des détectives blancs méprisants. De manière générale, il y a très peu de fausses notes sur le casting, Tatiana Maslany, John Lithgow, Shea Whigham, Lili Taylor, Robert Patrick, Justin Kirk… La classe.

Au niveau de la photographie, c’est pareil, on retrouve la qualité HBO. C’est très beau, l’ambiance est hyper travaillée, on sent la même application qu’un film de cinéma. Mais voilà, à côté de ça, on a un scénario assez traditionnel, qui offre peu de surprises. Les dialogues sonnent justes mais aucun ne reste en tête. On a du mal à accrocher aux personnages. On est tellement dans un monde froid. Ca manque d’émotions. Je n’ai pas passé un mauvais moment, je ne me suis pas ennuyé non plus, mais je ne sais pas, toutes ses belles promesses, ce beau casting, ce bel emballage, ça sonne un peu creux. Dommage. Mais je serais là pour la saison 2. Si l’affaire est meilleure, la saison le sera aussi.

 

Away saison 1
10 épisodes de 50 min
Diffusée sur Netflix le 4 septembre 2020
Fiche Seriebox

La Commandante Emma Green laisse derrière elle époux et fille pour diriger un équipage international d’astronautes lors d’une mission périlleuse de trois ans sur Mars.

Cette série, on l’aime ou on la déteste. Tout d’abord, malgré les apparences, ce n’est pas une série de science-fiction. C’est vraiment un drama familial, qui se passe en partie dans l’espace. On suit autant la mère astronaute, interprété par l’excellente Hilary Swank, que sa fille et son mari, sur notre bonne vieille Terre.

J’ai aimé les émotions que cette série transmet. Si on passe outre quelques grosses ficelles et certaines incohérences techniques (la fameuse problématique de l’eau), je me suis pris à cette histoire que j’attends tellement de vivre de mon vivant. J’espère qu’un jour l’homme ira sur Mars, voire plus loin. Alors certes, il y a des questions de priorité, mais à quoi bon faire survivre la Terre, un ensemble fini, si on n’essaye pas d’en savoir plus sur notre environnement, c’est à dire, l’Univers, qui est infiniment plus grand que nous.

Mais bref, revenons sur Terre. Certes, cette partie là est plus classique, mais offre malgré tout un point de vue auquel on peut s’identifier. Les complications médicales du père sont intéressantes, notamment quand il doit réfléchir s’il doit mentir sur sa condition pour profiter, ou pas, des soins particuliers de l’hôpital. Même la sous-intrigue avec la relation amoureuse de la fille m’a plu. C’est mon côté fleur bleue.

Mais le must, c’est évidemment toutes les péripéties dans l’espace, où on découvre l’équipe, épisode par épisode, même si on enchaîne certains clichés, notamment avec le russe et la chinoise. L’émotion est quand même là. Avec des relations qui évoluent et des perturbations dans leur capsule à huit clos.

Enfin, le final est magnifique. Ca adoucit un peu ma tristesse de l’annulation brutale de la série. J’ai l’impression que ces 10 épisodes se suffisent à eux même. On aurait pu encore développer évidemment, mais le voyage proposé a été beau. Une belle série feel good.

 

Films

Je continue sur le même rythme avec 2 films vus.

Deux films qui rentrent dans le cadre du Mini Challenge SF de Seriebox.
Deux pures découvertes, je n’en avais jamais entendu parler.

 

Upgrade (2018)
Fiche Seriebox

Après la mort de son épouse lors d’une violente agression qui l’a laissé paralysé, Grey Trace est approché par un inventeur milliardaire qui propose de lui administrer un remède expérimental qui va « upgrader » son corps et ses facultés. Désormais doté d’un implant fonctionnant à l’intelligence artificielle, Grey voit ses capacités physiques décuplées et se lance dans une mission vengeresse, afin de faire payer ceux qui ont tué sa femme.

Je pense que j’aurais encore plus adoré si je l’avais vu ado. Là, avec tous les films dans le même genre, y a un petit goût de déjà vu. On sent venir les choses. Ca manque d’originalité, de profondeur. Dans le même genre, ça m’a fait pas mal penser à Ex Machina, mais qui avait un côté mystérieux que Upgrade n’a pas vraiment. Le scénario n’est clairement pas son point fort. Les acteurs sont pas vraiment mis en valeur du coup. C’est brut de décoffrage.

Après visuellement, vu le budget, c’est franchement une réussite. La ville a vraiment une bonne ambiance, entre futurisme et décadence. Y a quand même des idées ! Ca se laisse regarder pour son côté ultra-violent, poisseux, jouissif. Je suis quand même content de l’avoir vu.

 

Coherence (2013)
Fiche Seriebox

Un soir, alors qu’une comète s’apprête à passer au-dessus de Los Angeles, Em se rend à un dîner entre amis et s’aperçoit en route que son téléphone portable ne marche plus. Une fois arrivée, les personnes présentes évoquent des faits étranges qui se seraient produits dans des circonstances similaires. Brusquement, la maison se retrouve plongée dans le noir. 

Celui-là, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre, et même après l’avoir vu, je comprends pourquoi. C’est vraiment un film difficile à décrire sans le spoiler. Les premières minutes, avec le côté caméra à l’épaule, assez mal filmé, le côté huit-clos, ça faisait vraiment petit film d’auteur où j’allais m’emmerder. Heureusement, j’ai repensé à The Man From Earth, un peu dans le même délire. J’ai persévéré. Et bien m’en a pris.

C’est vraiment l’anti-thèse d’Upgrade pour le coup. Ici, pas de choc visuel, c’est vraiment le scénario qui prime. C’est complexe, c’est un vrai puzzle qu’on nous propose de déchiffrer pour comprendre ce qu’il se trame. Plus le film avançait, plus j’accrochais. Le dernier quart d’heure où tout s’accélère est très cool. La fin excellente. Bref, ça me donne envie de le revoir un jour, alors même que le début me faisait peur. Une très bonne découverte !

 

Et voilà, c’est tout :) J’avais dit que c’était un petit mois télévisuel.

A bientôt pour de nouvelles aventures 

  2 commentaires

  1. 1 novembre 2020 at 13 h 06 min

    J’ai trouvé Perry Mason d’une belle qualité même si certains épisodes étaient un peu ennuyeux (surtout au début). Et oui il faut que tu reprennes The Americans. Je crois que la série est sur Amazon Prime en plus. Away était très sympa, un peu triste de son annulation mais oui la saison 1 se suffit à elle-même, même si j’aurais aimé voir l’équipage retrouver leurs proches.Côté films, ce sont les deux derniers films que j’ai vus pour le top 100 SF :) J’ai trouvé Upgrade sympa (avec des côtés prévisibles) et mon avis est tout le contraire du tien pour Coherence, j’ai super accroché à la première moitié et à l’idée de ce qu’il se passait, en revanche, moins à la 2e et j’ai trouvé la fin « meh » :DBon mois de novembre, j’espère que tu réussiras à voir plus de séries !

    • baba
      2 novembre 2020 at 21 h 56 min

      Merci Frankie. Ca va un peu mieux niveau séries :) C’est bête mais quand il fait nuit tôt, ça me donne plus envie de me mater des séries le soir.

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