Novembre 2020

Comme tous les mois, on se retrouve pour faire le bilan de tout ce que j’ai geeké. J’ai pris une semaine de congé donc j’ai eu encore plus de temps devant moi !

 

Lecture

Une petite lecture avec un comics :

Wonder Woman Rebirth Tome 2

Un tome bien moins intéressant que le premier. Ça casse vraiment la dynamique. On est tout de suite perdu dans un univers fantastique avec Barbara Ann devenue Cheetah. Les dessins ne sont pas à la hauteur et les scénaristes s’amusent à mélanger toutes les timelines avec une Wonder Woman qui emmêle ses souvenirs et a des amnésies. Je n’ai vraiment pas apprécié cette lecture. J’espère qu’on retrouvera quelque chose de plus consistant dans la suite.

 

Jeux vidéo

J’ai joué à 14 jeux, pour un total de 80,75 heures, soit 2,69 heures/jour.

J’ai profité de ma semaine de vacances pour commencer quelques jeux : Shadow of the Tomb Raider, Need for Speed Payback, Vampyr et Hardspace: Shipbreaker. J’y reviendrais quand j’aurais plus avancé.

 

Il m’a fallu du temps, 118h réparti sur 7 mois, mais c’est bon, j’ai enfin platiné Assassin’s Creed Odyssey ! C’est-à-dire que j’ai obtenu tous les trophées PlayStation.

C’est vraiment ma manière de consommer les jeux. Comme je ne suis pas un binge-watcher, je ne binge-game pas non plus. J’aime bien faire des sessions de 1 ou 2 heures sur un jeu avant de passer à une autre activité.

Sans surprise, c’est mon jeu le plus chronophage de l’année, même devant Call of Duty.

 

J’ai aussi recommencé Dark Souls mais en version Remastered. J’étais bloqué dans la version originale, j’ai donc recommencé en m’aidant de tutoriels pour bien optimiser mon nouveau personnage pyromancien. C’est tout de suite un peu plus aisé que mon voleur qui se faisait trop facilement défoncer. C’était comme si je jouais en hard en fait :/

 

Enfin, je peux laisser reposer FIFA 20 en paix.

Vous me direz, les meilleurs joueurs ont dû partir sur FIFA 21, mais j’ai enfin gagné la Division 1 ! :P

Il m’a fallu une centaine de matchs en mode saisons, en jouant tout le temps avec l’Equipe de France. Tous les joueurs sont bien boostés à tous les postes.

Je suis aussi étonné d’avoir réussi à faire passer un bon 3-4-1-2 des familles jusqu’au sommet. Les attaquants ultra rapides sur les ailes, c’est craqué, ça marche trop bien, même pour défendre. Je me retrouve donc avec 5 attaquants sur le terrain : Mbappé, Ben Yedder, Griezmann, Coman et Dembélé. Sans oublier Giroud qui peut entrer en fin de match quand il faut aller chercher un petit but de la tête.

 

Séries

Je suis toujours sur un bon rythme de 2,2 épisodes/jour, soit 65 épisodes vus (+1 par rapport à octobre), mais pour un total de 54h (+6h) soit 1.8 h/jour. C’est même mon 2e meilleur mois de l’année en matière de temps passé, loin derrière avril (72h).

J’ai fini 5 saisons, dont 1 revisionnage :

Star Trek Discovery saison 1
– REVISIONNAGE –
15 épisodes de 45 min
Diffusée sur CBS All Access/Netflix de septembre 2017 à février 2018
Fiche Seriebox

Après un siècle de silence, une guerre éclate entre la Fédération et l’empire klingon, alors qu’un officier en disgrâce de Starfleet se retrouve au centre du conflit.

En prévision de la saison 3, je me suis dit que j’allais me refaire les 2 premières saisons !

Finalement, en revisionnage, j’ai mieux apprécié le début de saison, où j’avais mis quelques épisodes à rentrer dedans la première fois. La série gagne donc 1 étoile par rapport à mon avis initial de mars 2018 :)

J’adore tous les personnages ! Mentions spéciales à Sonequa Martin-Green, l’actrice principale, et Jason Isaacs, qui joue Lorca, son capitaine. Faut dire que depuis The OA, à chaque fois que je le vois, je trouve cet acteur fascinant. D’ailleurs, je me disais bien que son visage m’était familier… Mais oui ! Rajoutez-lui des cheveux longs blonds et c’est Lucius Malefoy dans Harry Potter ! O.M.G.

 

The Right Stuff saison 1
8 épisodes de 50 min
Diffusée sur Disney+ en octobre/novembre 2020
Fiche Seriebox

1958. L’URSS domine la course à l’espace. Pour contrecarrer, le gouvernement américain et la NASA mettent au point le programme Mercury. La mission consiste à envoyer sept astronautes dans l’espace. Les sept individus, connus sous le nom de Mercury Seven, sont transformés en héros de la nation.

Disney+ n’est arrivé en Belgique qu’en septembre et je dois dire qu’il n’y avait jusqu’alors pas grand-chose d’intéressant pour moi. Côté films, j’ai déjà quasi vu tous les films Disney, Star Wars ou Marvel, et côté séries, le contenu est encore bien maigrichon. Alors quand cette nouvelle série est arrivée, qui plus est dans l’univers de la conquête spatiale, je me suis jeté dessus.

Malheureusement, ça n’est pas le coup de cœur. J’aime bien le côté historique, qui reprend le déroulé exact de cette guerre à distance entre les Etats-Unis et l’URSS. Ca permet d’apprendre ou de redécouvrir certains éléments de l’histoire. Ca sonne réel, notamment quand on voit le matériel de l’époque. C’est assez fou d’avoir envoyé des gens dans l’espace avec ça…

Mais le plus gros du show, c’est du drama pur et dur. On suit cette bande de pilotes, plus ou moins copains ainsi que leurs familles, mises sous les lumières du jour au lendemain. Ils sont en compétition pour savoir qui est celui qui partira en premier dans l’espace. 

Malheureusement, même si le casting me semblait solide, je les trouve tous assez fades et stéréotypés. Au final, je n’ai accroché à aucun des personnages. En plus, la série manque cruellement de rythme. La scène finale est d’ailleurs à l’image de la série, sans fioritures. Je ne dis pas qu’on pouvait avoir un cliffhanger, mais là, on ne sait même pas ce qu’ils voulaient raconter. Une saison 2 est à priori d’actualité, mais même ça, je n’en suis pas si sûr.

 

The Boys saison 2
8 épisodes d’1h
Diffusée sur Amazon Prime Video en septembre/octobre 2020
Fiche Seriebox

Dans un monde où les super-héros embrassent le côté sombre de leur célébrité et de leur notoriété, un groupe de justiciers connu officieusement sous le nom de « The Boys », a décidé de vaincre les super-héros corrompus avec la volonté de se battre violemment.

J’ai continué The Boys avec une saison 2 dont j’avais de très bons échos. Même si j’ai bien kiffé, j’ai quand même une pointe de déception. J’ai trouvé que ça aurait pu être encore meilleur. Je passe quand même de 17.6 en saison 1 à 17 de moyenne ici. La série garde donc chez moi ses 4 étoiles de toute justesse.

Et j’ai un peu peur de la suite. J’ai l’impression qu’on est déjà trop dans la caricature par moment, notamment Butcher qui me semble en roue libre. J’ai définitivement un problème avec ce personnage, ça ne passe pas. Même le Frenchie, avec son accent de merde, me fait plus kiffer. Avec Kimiko, Mother’s Milk, Hughie et Starlight, ils forment un bon petit groupe que j’ai aimé suivre. Y a quand même quelques scènes bien cool comme la poursuite du frère de Kimiko, l’infiltration de la prison/hôpital psychiatrique ainsi que le combat final.

J’ai aussi du mal à voir l’intérêt du Aquaman-like, The Deep, même s’il a quelques scènes plutôt marrantes, la cruauté animale « pour faire rire » est vraiment too much. C’est comme la girafe dans Very Bad Trip. Why ? On ne peut pas laisser tranquilles nos copains dauphins et baleines ?

Par contre, tout le charme de la série tient définitivement dans les mains (et le caleçon) d’Antony Starr, alias Homelander, bien accompagné ici par Aya Cash en Stormfront. C’était un beau duo détestable ! Je ne sais pas qui était le pire :D

Les confrontations avec Maeve et Starlight étaient jouissives. Ca fait du bien d’avoir des combats bien punchy entre super-humains. C’est tout le problème d’équilibriste de cette série. J’ai hâte de voir maintenant dans quoi va s’embarquer la saison 3. Surtout que les scénaristes aiment se compliquer la tâche, avec ce personnage « exploseur de tête » qui peut devenir vraiment problématique.

 

Tales From The Loop – Mini-série
8 épisodes de 55 min
Diffusée sur Amazon Prime Video le 3 avril 2020
Fiche Seriebox

Les personnages évoluent dans l’univers rétro-futuriste d’une ville sans nom où coexistent des technologies avancées tels que des robots ou des véhicules volants, avec une société évoquant plutôt les années 1980. Au centre de cet univers, il y a le loop, destiné à percer les secrets de l’univers, il relie les personnages de bien des manières puisque beaucoup y travaillent bien qu’il semble également causer nombre d’intrigues de l’histoire.

J’avais peur de m’ennuyer dans cette série quasi anthologique, mais en fait même si la série switche de personnages principaux d’épisode en épisode, on retrouve quand même un univers commun et beaucoup de liaisons entre les personnages. C’est ça qui en fait sa force au final. Quand un nouvel épisode commence, on cherche les indices qui permettront de raccrocher les wagons par rapport aux autres épisodes. On cherche aussi à découvrir quel sera l’évènement étrange qui viendra bouleverser la vie de nos habitants. Et je dois dire que même des thèmes aussi éculés que le body-switch ou le voyage dans le temps sont admirablement maitrisés par les scénaristes.

En plus de ça, le casting est vraiment à la hauteur, avec des têtes +/- connues comme Jonathan Pryce (Brazil, Game of Thrones), Rebecca Hall (Le Prestige, The Town, Vicky Cristina Barcelona), Paul Schneider (Parks & Recreation) ou encore Ato Essandoh (Away). A noter Daniel Zolghadri (21 ans – photo ci-dessous) qui est une sacré révélation !

A noter aussi que la photographie est vraiment très belle, avec son ambiance de pays nordique qui mêle décors de carte postale et les différents éléments futuristes du Loop, comme ses grandes constructions métalliques et les différents robots. C’est magnifique !

La musique est aussi totalement envoutante, à grand coup de piano qui pose une ambiance très triste et mélancolique. Ca m’a beaucoup rappelé les grandes heures de The Leftovers, qui savaient nous transporter avec ses envolées.

Certes, la série est inégale par moment, il y a quelques passages un peu plus lent mais globalement, c’est très bon, voire même extraordinaire comme l’épisode 2 que j’ai trouvé extrêmement bien écrit. L’un de mes épisodes de l’année ! J’ai vraiment été touché par cette mini-série en tout cas. Tales From The Loop divise et divisera, c’est sûr. Certains n’accrocheront pas du tout, tandis que d’autres, comme moi, rentreront totalement dans l’ambiance et l’univers.

 

The Queen’s Gambit – Mini-série
7 épisodes d’1h
Diffusée sur Netflix le 23 octobre 2020
Fiche Seriebox

En pleine Guerre froide, une orpheline lutte contre ses problèmes de dépendance lors de sa quête pour devenir la plus grande joueuse d’échecs au monde.

Difficile de passer à côté de ce qui s’annonce comme la « série de l’année ». Quand des gens qui regardent peu de séries en parlent, c’est qu’on touche à un produit phare. On parle là du niveau d’un Game of Thrones, Casa de Papel ou même récemment, Chernobyl. C’est vraiment un tsunami d’éloges qui s’abat actuellement sur la nouveauté de Netflix.

Et que dire à part que son succès est juste mérité ! C’est une mini-série qui me faisait envie et elle a plus que dépassé mes espérances. On est sur un biopic fictif qui semble tellement réel qu’on voudrait qu’il le soit. Chaque épisode nous transporte d’année en année dans ce parcours fabuleux et si tortueux de cette joueuse d’échecs hors-pair et pourtant si torturé. Tout est réalisé de manière absolument parfaite. La réalisation, le casting, la musique, la photographie, le scénario, la mise en scène, les décors, les costumes… C’est le plan qui se déroule sans accrocs. Il n’y a rien pour faire dérailler la machine une fois lancée sur les rails. On a peur parfois que ça arrive mais elle tangue sans soucis.

C’est vraiment un tour de magie où Anya Taylor-Joy en ait la principale investigatrice. Elle nous envoûte dès les premières minutes. Chaque épisode démontre son talent, indéniable. Elle nous fait rire, stresser et pleurer. De la comédie au drame, elle maitrise tout. Et plus glamour qu’elle, en 2020, tu ne trouveras pas.

À côté d’elle, sa mère adoptive est aussi parfaite. J’ai beaucoup aimé ce personnage. Ses amis joueurs échecs, Harry Melling et Thomas Brodie-Sangster, sont aussi fabuleux. Quand il y a du talent, il n’y a pas de mensonge. Même son mini-moi, Isla Johnston, s’est mis au diapason. Ce premier épisode sur son enfance était d’ailleurs étonnant. On ne s’ennuie pas. C’est fou. On parle quand même d’échecs ! Mais sans aller dans les détails des parties, ils ont réussi à rendre ça passionnant, en jouant aussi beaucoup sur la mise en scène, très dynamique, bien calée sur la musique.

Bref, je n’irais pas plus loin. Le final est magistral. On a clairement là une série fabuleuse. Il ne me reste plus qu’à décider de sa place dans mon futur Top 5, car j’ai quand même eu beaucoup de coups de cœur cette année !

 

Films

Ce mois-ci, je n’ai vu que 2 films. C’est déjà 2 de plus qu’en octobre :P

 

21 Bridges (Manhattan Lockdown en VF…) (2019)
Fiche Seriebox

Une course-poursuite infernale pour appréhender deux tueurs de flics à New York. L’inspecteur Davis est prêt à tout pour les coincer, d’autant qu’une gigantesque machination se dessine derrière leurs agissements. Pour les piéger, il va complètement isoler l’île de Manhattan, fermant l’ensemble de ses ponts, dans une spectaculaire opération… La traque peut commencer.

Il n’y a pas grand-chose à en dire, c’est un petit film d’action sans originalité. J’ai juste regardé pour Chadwick Boseman dans l’un de ses derniers rôles,  mais même lui n’arrive pas à sauver le film. Il joue juste mais son personnage n’est pas vraiment bien écrit. Idem pour JK Simmons.

J’ai limite préféré le duo de braqueurs, Stephen James et Taylor Kitsch, qui ont de bonnes scènes de fusillades. Le scénario est trop classique, trop déjà vu pour qu’on retienne quelque-chose de ce film.

 

The Mule (La Mule) (2018)
Fiche Seriebox

À plus de 80 ans, Earl Stone est aux abois. Il est non seulement fauché et seul, mais son entreprise risque d’être saisie. Il accepte alors un boulot qui – en apparence – ne lui demande que de faire le chauffeur. Sauf que, sans le savoir, il s’est engagé à être passeur de drogue pour un cartel mexicain.

Cette décennie a été plus compliquée que la précédente pour le réalisateur Clint Eastwood ! Je n’ai pas encore vu 3 de ces derniers films : Jersey Boys (2014), Sully (2016) et The 15:17 to Paris (2018), mais ça commençait déjà mal avec Hereafter (2010) et J. Edgar (2011). J’en retiens qu’American Sniper (2015), qui n’atteint pas non plus les sommets, comme la plupart de ses films des années 2000 (Million Dollar Baby, Gran Torino, Invictus, Mystic River).

Avec The Mule, j’ai cru qu’on repartait sur un Gran Torino like, mais rien à voir finalement. On est sur un road movie à l’apparence assez classique, mais qui délivre beaucoup d’émotions tellement il semble autobiographique de la part de Clint. On parle notamment de la rédemption d’un homme qui s’est perdu dans le travail et a négligé sa famille. Le film n’en reste pas moins assez drôle. Clint en profite pour faire le malin, en papy passeur, qui n’a peur de rien et surement pas des mafieux mexicains !

Ce n’est pas sa plus grande réussite mais j’ai passé un très moment devant ce film typiquement eastwoodien. C’est fou qu’il ait encore autant le mojo à son âge (88 ans lors de la sortie, 90 ans désormais) ! Un monstre d’Hollywood, tout simplement.

 

Cela conclut ce looong récap du mois de novembre !

Passez de bonnes fêtes ! À bientôt.

  3 commentaires

  1. 30 décembre 2020 at 19 h 35 min

    Tu ne savais pas que Jason Isaacs jouait Lucius Malefoy ? :D J’ai trouvé The Right Stuff très bien mais c’est effectivement assez stéréotypé. En fait, c’est assez scolaire. Mais les acteurs sont très bien. J’aime beaucoup The Boys mais il y a un truc qui m’empêche de vraiment kiffer. Pourtant les acteurs sont top, c’est déjanté et irrévérencieux mais voilà. Et je crois que pour Yoda Bor c’est pareil. Du coup, ça me rassure car je me pensais la seule. En revanche, j’adore Frenchy ! Tales from the Loop était une superbe série. Et tu as gardé le meilleur pour la fin : The Queen’s Gambit, je l’ai regardée avec Jeanne il y a 8 jours, on a adoré ! Je suis d’accord avec tout ce que tu en dis et il va falloir que les autres séries soient à la hauteur pour la détrôner (j’attends Pose de pied ferme) car là tout de suite c’est mon top 1 pour le prochain bilan. Oui je sais qu’il est dans longtemps mais la série a obtenu 19.1/20 donc va falloir s’accrocher pour faire aussi bien ! :D Bonne fin d’année !

    • baba
      2 janvier 2021 at 12 h 21 min

      Merci de continuer à passer laisser un petit mot à chaque fois, ça fait plaisir :)

      Pour 2021, je te souhaite le meilleur. J’espère qu’on pourra se revoir à Livre Paris. 2021, ça va être compliqué mais au pire, 2022, ça devrait être safe. Je croise les doigts !

      Une bonne année ! 😘
      • 3 janvier 2021 at 13 h 39 min

        C’est toujours un plaisir de venir commenter sur tes articles :) Je vais aller voir de plus près ceux sur tes challenges Seriebox, j’ai lu vite fait et j’ai vu de belles choses :D Je te souhaite une très bonne année également. Pour Livre Paris, pour moi c’est mort pour 2021 (à priori, on ne sait jamais ce qu’il peut arriver d’ici là) car ce sera en mai au milieu de deux séjours en France donc je ne pourrai pas rentrer à ce moment-là. Mais oui je compte bien y aller aussi en 2022 !

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