On se retrouve déjà pour la 5ème fois cette année pour un petit récapitulatif de toutes mes découvertes culturelles du mois.
Ce mois-ci, à l’instar du précédent, il n’y a pas eu beaucoup d’avancée littéraire, outre niveau comics. Mais bon, comme on dit, « En mai, fais ce qu’il te plait » et je pourrais dire que je l’applique désormais toute l’année. J’essaye de me mettre le moins de contraintes possibles. Oui, il y a toujours mes petits challenges personnels mais je les vois plus sur le long terme et tant pis si je n’y arrive pas. C’est pas non plus comme si j’avais un couteau sous la gorge.
Et donc, question « rentabilité », je n’ai pas réussi à faire tout ce que j’aurais espéré faire mais tant pis, C’est la vie.
Comics/Bds
On va commencé par les bubulles. J’ai lu 1 Bd et 3 comics.
Undertaker T3
3ème tome du western de Xavier Dorison (scénario) et Raph Meyer (dessin). On part sur une nouvelle intrigue autour d’un tueur en série un peu particulier. On est dans un style très thriller, avec une ambiance presque suffocante. De nouveau un scénario très bien construit porté par un dessin toujours à la hauteur, avec de magnifique planches, très bien colorisées.
Ça se lit très vite, je vous recommande chaudement cette saga !
The Flash T6
J’en parlais le mois dernier (où je n’avais absolument rien lu), j’avais du mal à finir ce tome-ci.
Trop long, je me suis ennuyé dans cet arc où un Flash du futur remonte le temps pendant que le Flash du présent en perds.
C’était brouillon et assez chiant. Les dessins sont toujours au top par contre. Vite lu, vite oublié.
Ensuite, j’ai lu 2 autres comics parce qu’ils étaient dans la sélection comics du Prix Livraddict 2016.
Lady Mechanika T1
Dans le style steam-punk, on suit une détective privée aux bras mécaniques qui n’a pas de souvenirs de son passé. Elle enquête donc sur son histoire à travers une autre sombre affaire avec une fille qui aurait les mêmes pouvoirs qu’elle.
Le dessin est plutôt fluide, facile à lire, avec un style bien défini. Les personnages sont sympas, que ça soit l’héroïne ou son antagoniste féminin.
L’histoire est un peu légère pour l’instant, on effleure juste le début de l’histoire. A confirmer donc dans les tomes suivants.
Low T1
J’adore les scénarios de Rick Remender et celui-là ne déroge pas à la règle. Il fait de nouveau de la SF plutôt originale. Ici, nous sommes dans un futur lointain, le soleil se meure et l’humanité a du fuir vivre dans les océans à cause des radiations. Ils ont envoyés des sondes à la recherche d’une planète habitable et attendent leur retour dans des centaines d’années. On suit une famille décomposée à la suite d’un drame, notamment Stel, la mère, personnage principal du comics. Elle est la seule à avoir encore foi en l’avenir.
L’histoire va vraiment de rebondissement en rebondissement. C’est bourré d’action mais aussi de réflexion.
La seule déception est graphique. Ça alterne vraiment le bon et le moins bon. Autant parfois, le style du dessinateur donne des planches magnifiques (aidé par le coloriste), autant des fois, c’est très compliqué de s’y retrouver. J’ai du relire certaines planches pour comprendre ce qu’il se passait et ça, c’est jamais bon signe. On n’est pas dans un style très détaillé et les éléments ne se distinguent des fois pas bien, dans les décors et surtout dans les personnages. Ça s’améliore au fil des tomes mais dans les 2 premiers tomes, c’est un vrai problème. Je lirais la suite pour l’histoire et pour voir si le dessinateur continue à s’améliorer, en réussissant à magnifier son style.
Jeux PC
Début du mois, j’ai surtout continué mes jeux des mois passés, notamment toujours Ghost Recon Wildlands et H1Z1 King of the Kill.
Mais j’ai aussi ressorti un autre jeu et acheté une nouvelle sortie.
Stellaris
C’est un jeu de grande stratégie spatiale type 4X sorti l’année passée. Alors, ça n’a rien de sexuel, 4X c’est pour eXploration, eXpansion, eXploitation et eXtermination.
Vous jouez un empire humain ou extraterrestre, vous partez de votre planète natale et le but premier est déjà d’explorer vos environs avec des vaisseaux scientifiques. Vous allez ensuite construire des mines avec vos vaisseaux de construction pour « farmer » de l’énergie et des minéraux, les 2 grosses monnaies du jeu. Il faudra ensuite s’étendre tout en faisant des missions pour découvrir l’univers autour de vous.
L’objectif est de prendre le contrôle de la galaxie ! Le nombre d’ennemis variant selon vos paramètres initiaux. C’est vous qui décidez au lancement de la partie le nombre d’ennemis contrôlés par l’ordinateur, la taille de la galaxie (ça peut aller de 150 planètes à 1500 je crois). Là, moi je veux faire des parties assez courtes donc je prends les galaxies les plus petites (bon, ça dure 10-20h quand même hein).
Vous n’êtes pas obligé de faire la guerre mais généralement, les ennemis attaquent quand même. C’est donc très compliqué d’avoir une victoire simplement diplomatique, en créant une fédération puissante dont vous êtes le maître.
Des différents jeux de stratégie édités par Paradox, dont notamment Europa Universalis IV et Crusader Kings II, Stellaris est le plus facile à prendre en main, le tutorial remplissant parfaitement son rôle. Le jeu n’en reste pas moins complexe et long mais chaque partie est différente et vous en avez pour des dizaines voire des centaines de jeu.
Prey
On reste dans l’espace. C’est la grosse sortie jeu vidéo du mois de mai !
Edité par Bethesda et développé par les français (cocorico) d’Arkane Studios à Lyon, ceux qui se font déjà fait connaitre avec le dyptique Dishorored (2012 & 2016). J’ai adoré le premier, je n’ai pas encore eu le temps de jouer au second.
Ici, ce Prey est vraiment très bon. Rien que la séquence d’introduction est magistrale. Il faut vraiment ne pas se la faire spoiler avant d’y jouer.
La suite est tout aussi bonne. Le level-design est génial. On ne peut pas aller où on veut mais ce n’est pas non un couleur. C’est vraiment un plaisir de découvrir ce jeu au fur et à mesure. Toutes les mécaniques sont vraiment bien pensées. On sent la présence du studio Arkane derrière, techniquement et artistiquement, on retrouve la patte Dishonored.
C’est propre, fluide et fun. Avec le petit côté survival-horror en plus. C’est un peu un mix entre Half Life, Alien:Isolation et Deux Ex: Human Revolution. Les décors sont très biens réalisés, l’histoire est sympa, l’ambiance sonore est dingue.
Seul bémol, arrivé à 10h de jeu, je commence à caler. Je joue en difficulté normale et le jeu me semble dur. Je galère à tuer les aliens, c’est horrible. C’est parfois un peu décourageant, surtout qu’on est très limité en munitions (j’imagine même pas en mode difficile voire expert). Et quand t’as plus de munitions, que t’as utilisé toutes tes ressources, ben t’es bloqué et t’es obligé de prendre une vieille sauvegarde. C’est le côté old-school du truc, faut aimer.
Bref, va falloir que je m’accroche, pour essayer de le finir en bonne et due forme. Si tout va bien, si le jeu ne se casse pas en cours de route, ça semble bien parti pour être dans mes jeux de l’année.
Jeux PS4
Pour ceux qui me suivent sur Instagram, vous le savez déjà. J’ai été faible. J’ai craqué pour la PS4 :D Y a eu trop de bons jeux en 2016 sur consoles (et non sortis sur pc), pour me donner envie.
Uncharted 4
Mon premier jeu PS4 est d’office l’une des plus grosses sorties PS4 de l’année passée.
J’avais adoré la première trilogie sur PS3, notamment le 2e épisode et celui-là continue dans la même veine. Pour l’instant, j’en suis à 8-9h de jeu et je le place au même niveau que l’épisode 3.
Ici, on reprend les mêmes et on recommence. Comme d’habitude, Naughty Dogs pousse la Playstation dans ses retranchements. Les animations faciales sont au top et les décors magnfiiques. Bien sûr, c’est plus facile quand tout est scripté mais d’autres jeux dans le genre sont très loin de ce niveau de réalisation.
Réalisation, le mot est bien trouvé d’ailleurs, car ce jeu est ce qu’il se rapproche le plus d’un film. Ils en abusent un peu trop même, le début est clairement trop scripté, on joue très peu ! Ok, Nate veut prendre sa retraite mais quand même ! On veut jouer nous ! :D
Mais une fois le jeu lancé, on retrouve les sensations passées. Le scénario offre pour le moment de très beaux moments dans des décors magnifiques, mentions spéciales à Madagascar.
Mon deuxième reproche au jeu serait son côté répétitif. Je sais pas s’ils l’ont fait exprès mais j’ai l’impression qu’ils ont voulus rallonger le jeu. Uncharted 2 et 3, ça se finissait très vite, en 7h à tout casser. Ici, je pense que le temps de « grimpette » a bien été doublé. En Ecosse, on passe bien une heure à escalader des falaises. Un peu saoulant à force, ça casse le rythme. Même si ce temps là est passé à écouter Nate discuter.
Le scénario est donc pour l’instant le gros point fort du jeu. C’est très bien écrit. Je vous dirais quand je l’aurais fini à 100%
Madden NFL 17
J’aurais rapidement craqué pour d’autres jeux, notamment grâce aux promos sur le Playstation Store. 10€ pour Madden NFL 17 et NHL 17, c’était une offre à ne pas manquer.
Je ne vais pas parler des hockeyeurs car je n’ai pas encore beaucoup exploré le jeu, à part les entraînements pour essayer de marquer des buts. Et c’est dur !
Par contre, Madden, j’ai tout de suite accroché. Pour les rookies, le jeu explique très bien comment jouer et s’améliorer, que ça soit déjà les nombreuses tactiques offensives et défensives du football US. Sans le coach virtuel, je serais encore incapable de choisir la bonne tactique pour contrer l’adversaire.
Mais y a rien de tel que de réussir une passe énorme de plusieurs dizaines de yards et d’aller marquer un touchdown !
Le jeu est très très beau en plus, les animations sont vraiment très bien travaillés, en plus d’une ambiance sonore parfaite. A contrario de FIFA, les commentaires sont vraiment excellents, toujours très bien calés au jeu ! C’est impressionnant !
Bref, un jeu à recommander aux passionnés de sport.
Séries
Voici venu le temps de la fin de saison et des champs, des seasons finales, en vois-tu en voilà. Et oui, on est arrivé au bout de la saison, toutes les séries des networks US se clôturaient.
Et il était temps que je rattrape mon retard. J’avais environ 10 épisodes de retard dans chacune de mes séries. Et je n’ai pas rattrapé grand-chose ! :D
Marvel’s Agents of SHIELD saison 4
Déjà la 4ème saison d’Agents of SHIELD, la série qui aurait pu se faire se faire annuler dès la première saison avec des audiences plutôt en berne aux USA (c’était passé de 12M lors du pilote, très médiatisé, à 5M en fin de saison). Maintenant, on est même en dessous des 3M.
Malgré que j’aime toujours bien cette série, faut quand même avouer que la qualité diminue de saison en saison. J’avais mis 17.8 de moyenne aux épisodes de la S2, 17 en S3 et maintenant 16.1 en S4.
Cette saison est sauvée par son dernier tiers, avec un arc passionnant qui m’a réconciliée avec la série. Le début de saison avec les « fantômes » étaient vraiment pas dans le ton habituel de la série. L’apparition de Ghost Rider était plutôt inattendue aussi, même si le personnage s’avère intéressant au final mais il n’a pas été très bien utilisé lors du 1er arc de la saison.
Finalement, c’est quand même on retrouve une équipe plus unie que la série redevient plus forte, avec des enjeux plus importants, où chaque personnage est vraiment mis en danger. Sans spoiler, quelques guest-stars viennent aussi remonter le niveau.
Appréciation : saison moyenne (**+)
The Flash saison 3
Ici aussi, le niveau est en un peu en baisse. La série s’est vraiment trop pris au sérieux cette année. On perds de plus en plus le côté fun de la saison 1.
J’ai vraiment pas accroché à l’arc principal de cette saison, qui prends beaucoup trop de temps à se développer. Iris West est devenu vraiment énervante en plus. Le final gâche tout en plus, avec des choix scénaristiques vraiment débile.
Bref, j’ai un peu peur que The Flash rejoigne Arrow dans le cercle fermé des séries CW qui deviennent n’importe quoi.
Appréciation : saison moyenne (**+)
Bloodline saison 3
Dernière saison pour Bloodline diffusé exclusivement sur Netflix.
C’est une série très difficile à rentrer dedans, lente au possible, avec une intrigue qui prends son temps. Mais son point fort, c’est son ambiance moite dû au tournage dans les Keys, à l’extrême-sud de la Floride, et son formidable casting, notamment Kyle Chandler, l’entraîneur mythique de Friday Night Lights, qui joue là un rôle bien plus sombre.
Cette ultime saison fait le job avec une tension quasi constante. Malheureusement, j’ai été déçu par les 2 derniers épisodes, notamment l’avant-dernier qui se permets de faire un épisode sous forme de rêve, un truc que je déteste, surtout quand ça n’apporte rien. Pour une série aussi lente, le final accélère un peu trop la cadence et se finit un peu trop rapidement. Les scénaristes n’ont finalement pas su gérer leur rythme sur 10 épisodes pour offrir une fin convenable. Certains détails font vraiment tâche dans ce final.
Appréciation : bonne saison (***)
Master of None saison 2
Et voilà mon coup de cœur du mois !
J’avais aimé la saison 1, notamment la seconde partie mais là, Aziz Ansari, créateur et acteur principal, se lâche totalement en continuant son exploration de l’amour connecté au XXIe siècle. Ils abordent tous ses sujets phares contemporains de manière originale, n’hésitant pas à tourner en noir & blanc, en muet ou encore avec des acteurs inconnus. Dans la forme c’est original, dans le fond, c’est critique et diversifié, ça touche à toutes les couches de la société.
Mais ça garde aussi toujours son côté comédie romantique vu que Dev est toujours à la recherche de belles rencontres, voire de l’amour. Après être parti en Italie étudier la confection des pâtes (l’épisode 1 se passe d’ailleurs intégralement en Italie), il rencontre notamment Francesca (interprété par la magnifique Alessandra Mastronardi). Malheureusement pour lui, elle est déjà fiancée à un bel italien. C’est l’histoire de sa vie, toutes les personnes qu’ils rencontrent et qu’ils apprécient, sont déjà casés. Aziz adore aborder le sujet du célibat, de la recherche de l’amour, des nouvelles techniques pour draguer. Fini les appels téléphoniques où tu risques de tomber sur papa/maman, maintenant, c’est les messages privés via application, que ça soit Facebook ou plus simplement Tinder, où chaque mot doit être pesé pour éviter de dire la grosse bêtise. Master of None use de ses petites anecdotes pour guider son récit, entre comédie et drama contemporain.
Bref, j’ai du mal à décrire les sentiments qu’offre cette série. Je pense pas que tout le monde appréciera, c’est vraiment particulier dans le style. Mais moi, j’ai vraiment adoré toute cette saison. Ca fera sans aucun doute parti de mon top 5 de l’année 2017.
Appréciation de la saison : excellente (*****)
Films
Resident Evil: The Final Chapter (2017)
Le 6ème et dernier chapitre de la saga Resident Evil ! Réalisé encore une fois par Paul WS Anderson avec la belle Milla Jovovitch (sa femme) en personnage principal.
Et il était temps que ça se termine ! Autant les 3 premiers RE, c’était moyen, autant les 3 suivants, c’était vraiment de la merde.
Celui ne déroge pas à la règle dès la première scène où Alice doit combattre un monstre ailé géant. C’est incompréhensible d’être aussi nulle sur les CGI et les choix de réalisation, l’action est illisible et totalement improbable. Y a aussi ces fameuses scènes où la réalisation se moque totalement de la notion d’espace. Des ennemis ultra-rapide courent comme des tarés par dizaine voire par centaines mais non, les héros courent toujours plus vite qu’eux et ont toujours assez de balles et de réflexes pour s’en sortir. Bref, on y croit jamais, on s’ennuie et on s’en fout royalement quand il y a des morts.
Les seuls bon points, c’est qu’on arrive enfin à la conclusion de cette saga et qu’on retrouve Ian Glen, le Jorah Mormont de Game of Thrones, surement l’un des meilleurs acteurs de cette saga. Vu qu’Alice retourne à Racoon City, histoire de boucler la boucle, on retrouve aussi le fameux couloir à rayon lasers !
Maintenant, reste à voir si le reboot annoncé sera meilleur ! Difficile de faire pire en tout cas. Qu’ils ne fassent surtout pas revenir le duo Anderson/Jovovitch en tout cas !
7 / 20
The Fate of the Furious (Fast & Furious 8) (2017)
On continue avec une autre saga de l’improbable mais là, je ne m’en suis jamais caché, j’adore Fast & Furious. Oui depuis le 1er. Bon, on oubliera p-e l’épisode spin-off Tokyo Drift et certains sont plus oubliables (comme le 2 et le 4). Mais le tournant artistique du 4ème épisode reboot, cette saga a réussi progressivement à trouver le bon ton en passant du film tuning qui se prend au sérieux à la pure comédie d’action/espionnage.
Quand je vais voir du F&F, je sais qu’il va y avoir du WTF à souhait ! C’est ça que les fans attendent et ils le maitrisent désormais parfaitement. C’est du lourd !
Ici, ils se font vraiment fait plaisir avec les punchlines entre Dwayne Johnson et Jason Statham, qui volent la vedette à Vin Diesel et le reste de l’équipe. C’était vraiment excellent.
Les cascades sont toujours aussi dingues, on se demande comment ils font pour toujours trouver des nouvelles idées après 8 épisodes. Ils vont toujours dans la surenchère irréaliste, ça ne tient qu’à un fil mais ça fonctionne ! Bref vivement FF9 :)
17 / 20
The Raid (2011)
Je n’avais encore jamais vu ce film culte du cinéma d’action. Un film indonésien que j’ai malheureusement vu en anglais sous-titré anglais. Du coup, les voix n’étaient pas vraiment synchros, ça m’a un peu gâché les discussions. Mais bon, c’est surtout un film de combat, autant martiales qu’à armes blanches ou à feu. On passe 15 minutes à nous mettre dans le bain, c’est juste un raid de polices dans un immeuble de banlieue et au bout d’un moment, tout part en couilles. Et je peux vous dire que ça défonce. Ils n’y vont pas par 4 chemins, ça tire dans tous les sens, les combats à mains nues ont vraiment de l’impact, c’est de l’action pure et dure, c’est ultra violent et en même temps, la chorégraphie est tellement bien faite ! C’est un film que j’ai vraiment beaucoup apprécié. J’ai du coup hâte de voir la suite The Raid 2: Berandal (2014) qui, à ce qu’il parait, est encore mieux ! 8.0 sur imdb, quand même.
16 / 20
Fantastic Beasts and Where to Find Them (Les Animaux Fantastiques) (2016)
Je suis un fan d’Harry Potter de la première heure. J’ai lu 2 fois tous les bouquins quand j’étais jeune. J’avais même réussi à convaincre mon grand-père de les lire et il adorait !
Depuis, il y a eu les films, que j’aime plutôt bien et j’ai un peu lâché. Je n’ai même pas encore lu la nouvelle pièce de théâtre mais ça viendra. Je compte également bien aller un jour avec Jess voir le parc à Londres.
Mais celui-là, j’étais un peu passé à côté, je n’ai pas été le voir au cinéma. Je crois que c’est le syndrôme The Hobbit qui m’a tellement déçu par rapport au Seigneur des Anneaux. J’avais peur que celui-là me déçoit aussi. C’est quand même une nouvelle machine à fric fait pour vendre du marchandising de créatures fantastiques. Je veux dire, on peut être fan mais aussi être réaliste sur le but premier du film.
Maaaaais, ça va, je suis globalement satisfait, le job a été fait je trouve. On retrouve globalement l’univers d’HP, même si la traversée de l’Atlantique le rend plus aseptisé je trouve. Le début du film est un peu poussif. La 3D rend aussi insupportables certaines scènes faites spécialement pour ça, ça devient fatiguant. C’est fini la 3D, le train est passé, ça ne se vend plus, faut arrêter maintenant.
Mais heureusement, il y a un bon trio d’acteurs, Eddie Redmayne, Katherine Waterston et Dan Fogler. J’adore Redmayne depuis The Theory of Everything, il est vraiment juste. Je commence à voir ces tics faciales mais pour l’instant, ça passe encore. Son personnage est peut-être encore un peu trop lisse pour qu’il donne tout son potentiel. Etant donné qu’ils ont prévu 5 films, je pense qu’on aura l’occasion de le voir sous un jour plus sombre.
Les animaux sont bien sûrs très (trop ?) mignons. Mes passages préférés sont quand ils vont dans sa valise, surtout avec la découverte de l’obscurus. Toute cette partie sur le côté sombre de la magie, avec l’enfant et cie, c’était pas mal amené, même si bien sûr, on pouvait aussi se douter de certaines choses. Disons qu’ils laissent beaucoup de pistes pour que tout le monde enquête.
16 / 20
Everest (2015)
Enfin le dernier film que j’ai vu, c’est un film tiré d’une histoire vraie, qui raconte le développement du business de l’ascension de l’Everest en 1996, mais qui sera marqué par des conditions extrêmes. On retrouve des acteurs connus comme Josh Brolin, Jason Clarke, Sam Worthington, Keira Knightley ou encore Jake Gyllenhaal.
C’est un film que j’ai trouvé très intéressant, on découvre l’Everest comme si on y était. Ça retrace vraiment toutes les étapes de Katmandou au sommet en passant par le BaseCamp.
Ça montre bien le courage et la détermination qu’il faut avoir pour réussir l’exploit, en plus bien sûr d’une excellente condition physique et psychique. Une belle aventure à voir.
16/20
Et voilà, c’est tout pour le mois de mai ! J’ai mis beaucoup de temps à rédiger cet article, pas toujours très inspiré pour exprimer ce que j’ai ressenti.
J’espère garder le rythme pour faire une année complète de bilan :)
Si vous voulez me retrouver sur les internets, je suis sur Instagram (@babajem), sur Facebook (@babajem) mais aussi, sur Twitter (@baba_jem) où j’ai repris récemment une activité.
Je participe notamment activement au jeu BingoSeries où le but est de valider 20 actions par rapport aux épisodes que l’on regarde.
Et bien sûr, je suis sur mes propres sites, Seriebox et Livraddict.
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Ah oui, je suis d’accord pour Fantastic Beasts, ça fait son boulot, même si c’est loin d’être un film extraordinaire !
J’ai bien hâte de voir la suite.
Oh moi j’ai trouvé Fantastic Beasts Super ! Mais je ne ne l’ai pas vu en 3D. D’ailleurs je fuis la 3D si je peux je trouve que ça n’apporte rien (à part à Avatar :)) Pour les série, j’ai trouvé Agents of Shield excellente de bout en bout mais mais la dernière partie a vraiment été excellente. Quant à Flash, j’aime toujours autant mais je trouve dommage que la storyline avec Iris ait plombé le reste et assombri la série qui a effectivement perdu son côté fun et léger (c’est Legends of Tomorrow qui a repris ce flambeau). Bon mois de juin !