La radioactivité est le phénomène physique par lequel des noyaux atomiques instables se transforment spontanément en d’autres atomes en émettant simultanément des particules de matière (électrons, noyaux d’hélium, neutrons, etc.) et de l’énergie (photons et énergie cinétique). La radioactivité a été découverte en 1896 par Henri Becquerel dans le cas de l’uranium, et très vite confirmée par Marie Curie pour le radium.
Les effets sur un organisme vivant d’une exposition aux rayonnements ionisants dépendent du niveau et de la durée de l’exposition, de la nature du rayonnement ainsi que de la localisation de la radioactivité (exposition externe, interne, en surface, etc.).
Lectures
A Storm of Swords
Intégrale 3 du Trône de Fer
de George R.R. Martin
VO – Format e-book – 1490 pages => 10% lu
Petit suivi, j’ai juste avancé de 3%. Va falloir que je fasse mieux les prochains mois.
Deadly Class T4 et T5
de Rick Remender et Wes Craig
Je vais me répéter mais ces deux tomes sont encore une fois super cool. Deadly Class est définitivement une valeur sûre. Me reste plus qu’à lire deux tomes et avancer dans la série, malheureusement déjà annulée après 10 petits épisodes.
Jeux vidéo
Un mois entièrement Ubisoftien !
Watch Dogs 2 (2016)
TERMINE – 39h de jeu en tout
Commencé le mois passé, je l’ai déjà terminé, histoire principale et quêtes secondaires comprises. Après des débuts compliqués, surtout pour rentrer dans l’histoire et maîtriser le gameplay, j’ai vite pris mon pied.
L’un des gros point positif du jeu est cette magnifique open-world de San Francisco. Ils ont fait un magnifique boulot sur les ambiances. Chaque quartier a ses propres particularités et fourmille de petits détails.
On a vraiment envie d’explorer toute la ville. J’ai passé beaucoup de temps à juste me balader, sans objectif. Comme dans The Division 2, on retrouve beaucoup cette culture du street art, avec beaucoup de tags qui viennent décorer dans la ville.
Techniquement, c’est pas mal aussi. On voit très loin, c’est clean. Le jeu tourne à 30 fps (quasi constant) sur PS4. J’ai juste eu des ralentissements quand j’allais parfois trop vite en bagnole. Une conduite toujours aussi dégueulasse d’ailleurs, les voitures accélèrent et freinent bizarrement.
Niveau gameplay à pied, les possibilités sont encore plus nombreuses, surtout avec l’ajout de deux drones, à terre et dans le ciel pour permettre de hacker ou espionner à distance, permettant d’avoir une vue d’ensemble de la situation avant de l’aborder. Généralement, le jeu nous fera d’ailleurs privilégier une approche quasi 100% pacifique. On peut juste assommer les gardes avec une espèce de yoyo ou un taser. Les armes sont cependant toujours là si vous ne voulez pas vous prendre la tête mais face à trop d’ennemis, on se fait vite défoncer. Au final, ça serait même logique de ne plus en avoir; on est hacker, pas assassin; mais Ubisoft n’a pas osé sauter le pas. Au niveau scénaristique, ils ont voulu donné un côté plus cool et fun, qui fonctionne assez bien au final mais le perso, différent du premier opus, n’est pas beaucoup plus charismatique. Mais globalement, c’est surtout un jeu systémique. Le scénario est secondaire. Tant que le plaisir d’y jouer est là, c’est le principal. Sur ce côté-là, c’est une belle réussite.
Assassin’s Creed Origins (2017)
EN COURS – 12h ce mois-ci
Je l’avais déjà commencé en mars puis je l’avais laissé de côté depuis. En 5h de temps, J’avais juste eu le temps de faire l’introduction. En gros, la découverte de Siwa, la ville domicile du héros, et le temple de Sekhmet d’Imou.
Ici, je me suis dirigé vers le Nord et découvert Alexandrie, la grosse ville du jeu. Je ne m’attendais pas à un côté très occidental aussi marqué. Il y a un mélange des cultures assez frappant.
Comme je le disais pour Watch Dogs 2, techniquement, c’est aussi sublime. Fluide, magnifique, on voit qu’ils maîtrisent bien leurs open-world désormais. Je me suis vraiment amusé avec le mode photo du jeu. J’en ai posté quelques-unes sur ma page Facebook.
Je vais le continuer en juillet. Je trouve cette nouvelle mouture d’Assassin’s Creed vraiment très solide. Ubi a vraiment bien fait de faire une pause d’une année sans sortie.
Séries
J’ai bien baissé le rythme ce mois-ci, avec seulement une moyenne d’1,2 épisode par jour ! C’est toujours comme ça, quand l’été arrive, les networks sont en pause, je pourrais rattraper mon retard, mais je n’en profite pas.
Mais vu que j’avais bien avancé par-ci, par-là, ces derniers mois, j’ai quand même fini 5 saisons ce mois-ci, dont un gros coup de cœur !
Dead Pixels saison 1
6 épisodes de 30min
Avec comme thème, le jeu vidéo en ligne, je me suis dit que cette petite série britannique pouvait me plaire. Et bien non !
Je pense que ça se destine vraiment plus aux fans de MMORPG type World of Warcraft ou Guild Wars 2. Ils se reconnaîtront plus facilement dans ces archétypes de personnages vraiment ultra-no life, qui ne jurent que par le jeu vidéo matin, midi et soir. Ici, évidemment, tout est exagéré, les personnages sont totalement absorbés dans leurs jeux, tout en ayant conscience que ce qu’ils font. Je trouve qu’on a du mal à s’identifier à eux. Le scénario n’est pas si bête dans le fond mais je trouve que l’ensemble est vraiment plat. Le temps m’a semblé long. Dommage.
Marvel’s The Punisher saison 2
13 épisodes de 50min
Le parcours du Punisher sur Netflix s’arrête là et il n’y aura même pas vraiment eu de baroud d’honneur.
C’est une saison vraiment plate et décevante. Elle n’a jamais réussi à monter en puissance. Le début dans l’Amérique profonde m’avait plutôt plu, avec l’épisode du bar, la rencontre d’Amy, la course poursuite et enfin, le siège du commissariat. Il y a quelques scènes de baston sympa mais pas aussi ouf que la fin de saison 1 non plus. Le prêtre cinglé en a juste une belle.
Mais dès que c’est reparti sur la storyline de Russo, surtout avec sa psy, mais que c’était long et chiant ! Idem pour Dinah, qui n’a pas été gâtée. Je l’aime bien mais elle n’a pas vraiment eu grand-chose à faire dans cette saison. Bref, ça se termine un peu dans l’anonymat. Ce n’est pas aussi décevant que la saison 2 de Jessica Jones mais j’en attendais beaucoup plus.
Dead to Me saison 1
10 épisodes de 30min
Encore une série Netflix avec cette comédie dramatique plutôt sympathique. Difficile d’en dire beaucoup sur le scénario sans spoiler. On suit principalement une amitié entre deux femmes, Jen et Judy, jouées par Christina Applegate (Mariés, deux enfants) et Linda Cardellini (Urgences, Bloodline). On retrouve également au casting James Marsden, le fameux Cyclope des films X-Men.
On est un peu dans le style Desperate Housewives avec beaucoup de secrets qui se révèlent au fur et à mesure. C’est juste dommage que le meilleur épisode soit le premier. Je n’ai jamais retrouvé la bonne qualité du pilote dans la suite. Mais ça se regarde facilement, j’ai passé un bon moment.
La Casa de Papel Partie 1
13 épisodes d’environ 45min
Vamos a la Casa de Papel !
Pas besoin de présenter la série événement de Netflix qui a cartonné début 2018. Alors que c’est mon style de série, je n’avais pas encore eu le temps de la mettre au programme. Enfin presque, j’avais regardé 3 épisodes en décembre dernier puis mise de côté :/ Je m’y suis donc remis et ouais, c’est sympa, mais ce n’est pas non plus la claque (sur?)vendue.
Les séries concept, c’est toujours cool sauf quand ça s’étire en longueur et que ça tombe dans le ridicule. C’est par exemple ici le cas avec cette scène complètement surréaliste où « el Profesor » se fait rouler en boule dans une voiture à la casse pendant qu’il cause tranquilou avec l’enquêtrice…
Celle-ci est aussi bien tranquille. J’ai jamais vu que le négociateur se barrait pour se reposer ou draguer après chaque coup de fil aux preneurs d’otages…
Dommage parce que, sinon, c’est cool. J’adore le plan du casse, avec ces tenues rouges et ces masques. Les personnages sont tous intéressants. On vit vraiment une belle partie d’échecs. Hâte de voir comment ça se termine.
Chernobyl saison 1
5 épisodes d’1h
Ici aussi, pas besoin de présenter la série événement de cette année, plébiscitée partout depuis sa sortie.
Dès le premier épisode, j’ai été happé par le réalisme de cette série. C’est tout simplement hallucinant le niveau de fidélité qu’ils ont réussi à retranscrire. C’est une série vraiment coup de poing, qui appuie là où ça fait mal. C’est fou que tous ces événements aient pu arriver tel que décrits. La gestion soviétique est juste catastrophique. On se dit qu’on a vraiment évité le pire.
Tout en suivant chronologiquement la catastrophe, chaque épisode aborde des thèmes différents. Certaines scènes sont même vraiment difficiles, comme quand on découvre progressivement les effets des radiations sur les corps des premiers intervenants, ou encore quand les soldats doivent « s’occuper » de la faune irradiée. Le dernier épisode, sous forme de procès, réussit même à être poignant rien que sur des dialogues vraiment percutants, qui font beaucoup réfléchir sur la gestion du nucléaire.
HBO a tout simplement encore produit une série d’excellente facture, la meilleure que j’ai vu cette année. Finalement, on attendait tous le final de Game of Thrones mais c’est Chernobyl qui nous a mis une vraie grosse claque !
Bilan mi-2019
Pour comparer avec 2018, je suis sur un meilleur rythme ! Déjà 24 saisons terminées, contre 18 en juin passé (dont mes 5 saisons de revisionnage de One Tree Hill).
Je remarque également que je regarde vraiment beaucoup plus Netflix. Au moins, je rentabilise bien mon abonnement et je suis encore plus dans la légalité :) 19 saisons sur 24 regardées sur la plateforme de streaming !
Films
Heureusement que ma chérie était là pour me motiver à regarder des films sinon je n’aurais rien regardé ce mois-ci. Merci Jess ;)
The Hate U Give (La Haine qu’on donne) (2018)
Starr est témoin de la mort de son meilleur ami d’enfance, Khalil, tué par balles par un officier de police. Confrontée aux nombreuses pressions de sa communauté, Starr doit trouver sa voix et se battre pour ce qui est juste.
Sur fond d’injustice sociale et de racisme, je m’attendais à un teen-movie assez classique, ce qu’il est au début. A la moitié du film, il arrive cependant à se transcender pour vraiment aborder avec justesse les racines du mal. Deux scènes en particulier m’ont marqué, c’est d’abord l’altercation musclée entre le père de l’héroïne et des flics blancs. Ensuite, la conversation entre Starr et son oncle policier, qui considère lui-même qu’il aurait peut-être tiré. C’était vraiment prenant, touchant.
J’avais envie aussi de noter la prestation XXL d’Amanda Stenberg, l’actrice principale. A seulement 20 ans, on sent que cette actrice peut clairement représenter le futur d’Hollywood. Ça ne m’étonnerait qu’elle rafle un Oscar dans les prochaines années. Elle porte vraiment le film sur ses épaules. Elle doit jouer entre deux mondes, celui des blancs où elle va à l’école et celui de son quartier noir, pauvre, où elle loge avec sa famille. Finalement, le film raconte aussi sa quête d’identité.
Je suis donc agréablement surpris au final. C’est un très beau film. Il évite les écueils du genre en restant réaliste et en ne tombant pas l’happy end héroïque.
The Greatest Showman (2018)
The Greatest Showman célèbre la naissance du show-business et l’émerveillement que l’on éprouve lorsque les rêves deviennent réalité. Inspirée par l’ambition et l’imagination de P.T Barnum, voici l’histoire d’un visionnaire parti de rien qui a créé un spectacle devenu un phénomène planétaire.
Difficile de passer derrière La La Land mais The Greatest Showman fait vraiment du bon boulot en terme de comédie musicale. Faut dire qu’elle est portée par un Hugh Jackman qu’on sent vraiment ultra motivé par le projet ! Ce n’est clairement plus qu’un acteur, c’est désormais un chanteur accompli.
Le scénario est assez simpliste au final, avec beaucoup de bons sentiments, mais, au moins, il prône une ode à la différence, avec ici les débuts des freaks du cirque. Ça fonctionne plutôt bien, même si certains passages sont vite éludés comme ces moments où les personnages se pardonnent un peu vite.
Mais l’essentiel n’est pas là. Les chansons sont top et les shows sont spectaculaires. Vu la période, j’avais peur de m’ennuyer mais finalement, pas du tout. Même si ce n’est pas toujours ma tasse de thé, les chansons fonctionnent bien. Le film est vraiment à l’image de ce qu’il veut montrer : un très beau spectacle.
Bilan mi-2019
Au contraire des séries, sur cette première moitié de 2019, j’en suis seulement à 16 films :O J’étais à 59 à la même période l’année passée (dont la moitié sur le mois de février). C’est donc vraiment un transfert de mon temps libre en faveur des séries (mais aussi du foot et des jeux vidéos). Je ne sais pas si c’est temporaire, ce n’est qu’un constat à l’instant T.
Musique
Toujours et encore du rap en cette année 2019. Là aussi, si on doit faire un bilan à mi-saison, on peut vraiment dire que c’est un retour de ce genre musical dans ma vie depuis fin 2018.
Tyler, The Creator
IGOR
Hip-hop expérimental / Funk / RnB – USA
5e album studio – Sorti le 17 mai 2019
Chansons préférées : EARFQUAKE – RUNNING OUT OF TIME – I THINK – NEW MAGIC WAND
J’ai découvert cet artiste par hasard sur Spotify. C’est vraiment du hip hop assez peace, avec des mélodies diverses qui restent en tête. C’est un peu à contre-courant des styles actuels. On se croirait presque revenu 10 à 20 ans en arrière. C’est court en plus, ça ne dure que 40 min et ça s’écoute d’une traite. Une très bonne découverte.
Damso
Lithopédion
Rap – Belgique
3e album studio – Sorti le 15 juin 2018
Chansons préférées : Feu de bois – SMOG – Silence (feat Angèle) – Julien – 60 années
J’avais dit au début de l’année que j’avais du mal à accrocher à Damso mais après avoir écouté Feu de bois des dizaines de fois, j’ai réessayé l’album dans ma voiture et je valide à 100%. Damso est vraiment au dessus de la masse des rappeurs franco-belges.
Il a vraiment une voix et une façon de chanter qui se démarque. Alors certes, ses paroles sont parfois (souvent ?) assez cru et vulgaire mais perso, ça ne me choque pas. Tant le résultat final est impec, on s’en fout. Genre SMOG, c’est pas la chanson que t’écoutes en famille de toute façon.
Si y a bien une chose que j’sais faire, c’est niquer des mères
Les hommes mentent mais pas la trique, viens j’vais t’dire la vérité
Prends exemple sur ma bite, noire et prête à tout niquer
Ça s’ra toujours pour le fric, dis pas « j’t’aime pour c’que t’es »
Le succès, c’est quand les flics t’arrêtent que pour discuter
Moi, ça me fait rire. Le son est tellement bien. Et le clip est cool aussi. Dommage qu’il n’en fasse pas plus.
J’aimerais bien par exemple en voir un avec Angèle pour Silence.
Eeeet, c’est tout pour ce mois de juin ! TchaoooooooO !
Chernobyl ne m’attire pas pour le moment. Je sais qu’elle est excellente mais j’en ai un peu ma claque des séries anxiogènes après Years and Years et The Handmaid’s Tale.Dead to Me est à mon programme mais pas eu le temps de la regarder.Et j’ai beaucoup aimé The Greatest Showman. Je suppose que tu l’as regardé pour le top 100 de Seriebox (c’est mon cas).Bon mois de juillet.
Je te comprends, c’est pour ça que je n’avance pas dans Handmaid’s Tale, j’ai jamais trop envie de retourner dans cet univers.
Il va aussi falloir que j’avance un peu les prochains mois, j’avais bien démarré mais ensuite j’ai regardé pas mal d’autres trucs hors challenge. Là faut que je reprenne, surtout que pour le top 100 j’ai juste Okja et Old Boy à regarder.
J’avais aussi beaucoup aimé The Sarah Connor Chronicles. Et ouais, youpi pour la saison 5 de The Expanse !