Nous voici en Marche !
C’est parti pour un nouveau récapitulatif du feu de Dieu sur tout ce que j’ai pu faire au niveau g33kerie pendant ce troisième mois de l’année 3.
Let’s go!

Lectures

Le Passage, tome 3 : La Cité des Miroirs
de Justin Cronin
283 > 480 pages / 812 => 60%

Évidemment, j’ai continué mon pavé, mais je n’ai pas autant avancé que je le pensais. Seulement 200 pages lues alors que j’espérais le finir. Sur ce rythme-là, je ne le finirais qu’en mai.

Ici, j’ai donc lu les parties IV à VII. La situation a déjà bien évolué, ça promet un final épique. Je note déjà certains passages vraiment forts, notamment avec Caleb et Pim d’une part, Peter, Alicia et Amy, d’autre part.

 

Les Tuniques Bleues, tome 60 : Carte blanche pour un bleu
de Raoul Cauvin (scénario) et Willy Lambil (dessin)

Ça faisait longtemps que je n’avais pas lu cette série de BD. Quand j’étais ado, je l’avais « binge-readé » en les empruntant à ma bibliothèque de quartier.

Les persos n’ont pas changé d’un poil. Je pense que depuis la création de la série en 1968, ils restent sur le même format, avec les mêmes vannes comme Blutch qui veut déserter l’armée tout le temps ou sa jument Arabesque qui s’écroule dès qu’elle entend « Chargez ».

Ici, le caporal Blutch essaye de sortir le sergent Chesterfield d’une amnésie. Celui-ci reste dans son fauteuil roulant sans réagir. Blutch va donc essayer de lui faire revivre certains événements pour le sortir de sa torpeur. Un bon prétexte pour sortir un pur tome pour les fans, avec pleins de références aux aventures des deux gaillards. Moi qui reprenais la série, c’était donc assez inintéressant. Déjà que la série n’a pas beaucoup de perso, on doit se taper le seul Blutch. Le rythme est donc assez plat. Dommage.

 

Deadly Class, tome 3 : The Snake Pit
de Rick Remender (scénario) et Wes Craig (dessin)

Je n’aurais lu qu’un seul tome mais quel tome !

Le tome 2 finissait sur un cliffhanger énorme, très bien conclu ici par une course poursuite et un combat de folie furieuse ! (chapitres 12 et 13)

Les autres chapitres (14 à 16) sont en suite un peu plus calme, se déroulant plus dans l’école de meurtriers. Le perso principal part vraiment en sucettes ! Je pense qu’on aura la conclusion de cette descente aux enfers dans le tome 4.

 

 

Jeux vidéo

Je me suis pas mal dispersé ce mois-ci. J’ai continué Horizon Zero Daw et aussi commencé Assassin’s Creed Origins. J’y reviendrais sûrement dans les prochains mois. Je vais m’attarder surtout sur deux autres jeux, un que j’ai aussi commencé et un autre que j’ai repris :

 

Far Cry 5 (2018) – PS4

Le jeu Ubisoft vraiment typique, avec un open world qui accumule beaucoup trop de quêtes annexes et d’indicateurs à l’écran. Dès le début, on nous introduit les 3 zones de jeu et bim, tu peux aller où tu veux, faire ce que tu veux. Il n’y a même pas d’ordre prédéfini par des niveaux d’ennemis comme dans Ghost Wildlands ou Assassin’s Creed.

Ce que je n’ai pas aimé d’office dans ce FC5, c’est la cruauté envers les animaux. Genre, la mission « Testival »… il faut « récupérer 3 paires de testicules de taureaux ». Oui, c’est débile mais en plus, on te dit de d’abord tuer un taureau en saillie avec une vache, ensuite d’en broyer un avec les lames d’un tracteur et enfin d’en brûler un… What… The… Fuck ? La chasse et la pêche, c’est déjà de trop, c’est accessoire, mais alors ça, c’est vraiment profondément cruel.

A part ça, les cinématiques du scénario sont cool sinon mais celui-ci est peu inspiré et original. Chaque zone demande que tu fasses des missions pour gagner de l’XP et ensuite débloquer des missions de boss. Le problème, c’est que dès que t’atteins un des trois palier, les mecs de la secte viennent te kidnapper. Tu sais rien y faire, que tu sois à pied, en quad, en bateau ou même en avion, ils viennent t’endormir avec leur drogue et bam, tu te retrouves, la plupart du temps, dans un bunker, ligoté et tu dois supporter ces tarés qui te parlent. A chaque fois, tu t’évades et tu recommences le cycle. Je ne comprends pas comment ils ont pu se dire que c’était une bonne idée de forcer les gens à faire ces missions principales alors qu’on pourrait les lancer comme d’hab quand on veut…

Bref, j’ai quand même fini une de ces trois zones et j’ai commencé la suivante. Le gameplay est toujours assez sympa, ça reste plaisant à jouer dans les phases de tirs, c’est du Far Cry assez classique. Le background de l’amérique profonde, au Montana, est aussi intéressant mais y a pleins de petits détails qui font que je ne conseillerais pas ce jeu.

 

The Division (2016) – PC

J’hésitais à prendre The Division 2 et finalement, je me suis dit que j’allais d’abord finir le premier. Logique, n’est-ce pas ? J’y avais passé 27h à l’époque, sur PC, et je n’étais qu’à 50% du jeu.

Toute la partie Est de New York, je n’y avais même pas encore été. Du coup, là, j’y ai joué une bonne dizaine d’heures et je suis au 3/4 de l’histoire maintenant. Je suis juste bloqué parce que je n’arrive plus à passer les missions principales tout seul comme un grand. Pas assez de patience (ou alors de skill… :D). Il y a juste trop d’ennemis à gérer tout seul. Ils m’encerclent tous rapidement. J’ai essayé de jouer avec le matchmaking mais le jeu étant sorti depuis longtemps, il n’y a plus grand monde sur certaines missions. Les gens sont tous au niveau 30 et joue le « endgame » du jeu.

Tant pis, va falloir passer à la suite, du coup :P

 

Emissions

Terrace House: Opening New Doors – part 6
9 épisodes de 42 min – Netflix

Sixième et dernière partie de cette saison de Terrace House à Karuizawa. Comme les précédentes à Tokyo et Hawaï, ça se termine un peu difficilement, avec un groupe qui se désunit un peu avec la fin qui approche. Aucun des 6 premiers habitants n’est plus là. Le casting a été entièrement renouvelé au fil des 47 épisodes. Wikipédia le recense d’ailleurs bien :

On finit donc avec (de gauche à droite) : Masao (31 ans, bassiste d’un groupe connu au Japon), Maya (19 ans, étudiante en mode et mannequin), Kaito (20 ans, skateboarder pro), Yui (21 ans, étudiante à l’université), Risako (28 ans, mannequin) et Aio (23 ans, ancien joueur de foot pro).

Chez les mecs, on n’a vraiment aucun profil intéressant. Kaito, présent depuis l’épisode 35, est assez inerte. Il fait beaucoup penser à Guy Sato, le surfeur pro d’Aloha State, un de des potes d’ailleurs. Ils se ressemblent comme deux gouttes d’eau. Vraiment peace la vie. Idem, pour Aio, très – trop – cool. Il ne pense pas beaucoup à travailler et profite juste de la vie, sans se presser. Il parle aussi super lentement, on dirait presque Giroud…

Yui va se révéler être la petite peste de cette dernière partie, foutant la merde dans les relations entre filles en rapportant les propos de l’une à l’autre. Risako va notamment prendre cher. On peut noter son courage d’être restée jusqu’au dernier jour. Enfin, y a Maya, la plus jeune, qui se révèle être la plus sympathique, très dynamique et souriante. Heureusement qu’elle était là pour éclairer un peu cette dernière partie !

Maintenant, il ne reste plus qu’à patienter jusqu’à l’arrivée de la nouvelle saison, déjà teasé en fin d’émission. On repart pour Tokyo et ça devrait démarrer en Mai 2019 sur Netflix ! 

 

Séries

Comme en février, encore 4 saisons terminées !

Depuis le début de l’année, je remarque que j’ai quand même vu 7 nouveautés sur les 8 saisons vues !

 

Project Blue Book saison 1
10 épisodes de 42 min

Dans les années 50, on suit un scientifique, le professeur J. Allen Hynek, interprété par le célèbre Aidan Gillen (Game of Thrones), recruté par l’Armée de l’Air américaine pour mener des enquêtes avec le Capitaine Michael Quinn (joué par Michael Malarkey) sur des faits divers assez mystérieux, le plus souvent liés à l’existence d’extraterrestres. La série se base sur des faits réels. 

Malgré plusieurs fils rouges, on enchaîne quand même les enquêtes indépendantes, plus ou moins intéressantes. C’est une sorte de mix entre X-Files et un poil de The Americans, pour le côté guerre froide.

Les acteurs sont pas mal, sans plus. L’histoire de Mimi, la femme d’Hynek, et sa copine Susie Miller, forment aussi un duo de femmes pas inintéressant à suivre, avec cette attirance lesbienne sous-jacente mais c’est vraiment une histoire secondaire. Pour les enquêtes en elles-même, elles sont souvent vite résolues et le rythme en pâtit pas mal. J’espère que la série irait crescendo mais la fin de la saison est assez décevante.

La série a été renouvelée pour une seconde saison de 10 épisodes, je pense que je continuerai pour voir ce que ça donne. Tout est mis en place, il faut juste trouver le juste ton. 

 

The Umbrella Academy saison 1
10 épisodes de 50 min

Cette série m’aura aussi un peu déçu par son rythme en dents de scie. Le début de saison était plutôt convaincant, avec des personnages marquants, différents des autres séries de super-héros. J’aime notamment beaucoup Five, Klaus et Diego. Et dans les « méchants », j’aime beaucoup Hazel et Chacha (joué par Mary J. Blige !!!). Et ça m’a aussi fait kiffer de voir Kate Walsh ! 

Dommage que la série se perde juste avant le double épisode final. Il ne se passait juste plus rien d’intéressant, j’ai eu l’impression de revoir The Descenders à ce moment. Ils ont failli me perdre… Surtout que certains personnages, Vanya pour ne pas la nommer, sont vraiment très mal écrit. Ellen Page est d’une paresse pendant toute cette saison !

Heureusement, même si les effets-spéciaux sont vraiment légers, le final est de bonne facture. Les scènes s’enchaînent bien, avec de l’action et des révélations. Evidemment, ils font ça bien pour qu’on est envie de revenir pour la saison 2 !

 

The Passage saison 1
10 épisodes de 42 min

Difficile à dire si The Passage aura aussi droit à sa saison 2. J’espère bien car cette saison m’aura convaincu. Au début, ce n’était pas gagné pourtant, j’étais sceptique au début mais elle a vite réussi à me faire changer d’avis.

Surtout grâce à ce casting solide, entre nouvelles têtes comme la jeune Saniyya Sidney (12 ans seulement, qui joue Amy Bellafonte), ou fidèles du petit écran comme Mark-Paul Gosselaar (Brad Wolgast), Jamie McShane (Tim Fanning), Emmanuelle Chriqui (Lila Kyle) ou encore Henry Ian Cusick (Dr Jonas Lear, LOST !).  J’ai aussi bien aimé Brianne Howey (Shauna Babcock) et McKinley Belcher III (Anthony Carter) qui interprètent deux viruls très important pour la saga.

Celle-ci a d’ailleurs été librement mais plutôt efficacement bien adaptée. Je veux la suite !

 

Sex Education saison 1
8 épisodes de 50 min

Je n’aurais pas parié un centime dessus mais Sex Education est mon coup de cœur du mois !

Malgré un début de saison assez lent, la série prend son envol dès l’épisode 3. C’est de la série d’ado feel-good mais ça fait du bien au moral. Je m’attendais à un style American Pie mais finalement, rien à voir ! C’est plus une comédie dramatique, très moderne qui plus est. C’est très Netflixien. Ça aborde la sexualité sous toutes les formes et de façon assez ouverte, avec le côté tolérant que sense8 avait déjà démontré.

On pourrait croire au premier abord que l’on a droit aux éternels clichés des lycéens, avec le gay, le sportif, la fille populaire, le bully, le nerd, etc, mais tout ça est vite balayé. Chaque personnage a évidemment une personnalité bien définie mais, qu’ils soient principaux ou secondaires, la série leur a développé une back-story intéressante.

J’ai aussi été étonné de voir Gillian Anderson en mère « MILF » du perso principal. Elle est sexologue et nympho et c’est elle qui donne sans le savoir l’idée à Otis de devenir le Mr Sexe de son lycée. Il va donner des conseils aux autres élèves. Par contre, il est beaucoup plus coincé que sa mère :P

Là où la série excelle, à mon avis, c’est dans ses moments dragi-comiques, avec son petit humour britannique. La vie n’est pas tout le temps un long fleuve tranquille et c’est donc logique d’avoir aussi des moments de tension, de drame ou même de honte. J’ai aimé les personnages et j’ai hâte de voir la saison 2 !

 

Films

Comme le mois précédent, seulement 2 petits films vus ce mois-ci, mais non des moindres !

 

Bohemian Rhapsody (2018)

Difficile d’être passé à côté du phénomène Bohemian Rhapsody, multi-nominé et récompensé aux Golden Globes et Oscars. Golden Globe du meilleur film dramatique notamment mais surtout, GG + Oscar pour Rami Malek. Quelle consécration pour ce formidable acteur que j’ai découvert, comme beaucoup, avec Mr. Robot.

Il tue tout ici. Même si je ne connais pas plus que ça Freddie Mercury, j’ai eu l’impression qu’il l’incarnait parfaitement, notamment quand on compare les prestations lives du chanteur et de l’acteur. Il l’imite à la perfection. Je ne suis juste pas fan de cette prothèse dentaire, qui donne vraiment l’impression d’avoir été exagéré.

Evidemment, le film est porté par les nombreux tubes de Queen. Ça reste plaisant à suivre aussi, même si certains passages sont très adaptés de la réalité, ça se sent et un petit tour sur wikipédia vous permettra de voir que de nombreuses choses ont été modifiées.

Enfin, pour moi, c’est survendu, surcoté. Y a une bonne prestation de Rami Malek, une très bonne bande-son (évidemment) mais en tant que film, ça reste bien trop classique et assez plat.

Après, pour moi, c’était juste un sentiment, je n’ai pas fait d’école de montage mais j’ai ressenti un malaise. Je sais pas si vous avez comme moi ce sentiment devant certains films ou épisodes de séries. Quand tu sens que les plans ne s’enchaînent pas correctement. Je suis même tombé sur une vidéo qui l’explique très bien ici.

Bref, ce n’est pas le film de l’année pour moi. C’est un bon film, à voir pour les fans ou, comme moi, mieux connaitre Queen et Freddie Mercury, mais c’est tout.

15 / 20

 

Spider-Man: Into the Spider-Verse (2018)

Spider-Verse est plus proche pour moi d’être le film de l’année 2018 ! Quelle claque !

Après de nombreuses années à souffrir devant les films Spider-Man, ça fait du bien de voir ça ! Même si le dernier (Homecoming) était quand même déjà bien mieux que les précédents (Amazing Spider-Man, quelle atrocité…).

Dans ce nouveau film, ce qui choque d’abord, c’est cette p*tain de qualité dans les animations ! Ça change des styles habituels des Disney, Pixar ou autre Dreamworks. C’est hyper dynamique et coloré, ça donne le rendu idéal d’un comics animé finalement ! Juste parfait !

En plus, ça part dès le début à 10.000 à l’heure ! J’ai jamais été autant happé dès le générique, avec cette B-O géniale. Après, évidemment, ça redescend un peu, le film peut pas être tout le temps à fond mais ça reste quand même très fluide, avec un scénario « multi-verse » qui permet de relancer la machine à de multiples reprises. Tous les personnages importants de la saga sont là (ou presque).

C’était en plus très intelligent d’enfin faire intervenir Miles Morales en tant que personnage principal, le Spider-Man qui remplace Peter Parker dans les comics depuis 2011. Ça donne un ton différent à l’univers Spider-Man avec ce personnage aux origines latino-africaines. C’est juste parfait pour ce film, qui arrive au bon moment à Hollywood, avec le succès récent de Black Panther et cette montée en puissance (tardive) de la communauté afro-américaine. Vu qu’il y a 13.3% de noirs et 17.6% d’hispaniques aux USA (Source), c’est un bon combo pour conquérir une partie de la population qui s’identifiera plus à ce personnage qu’au Peter Parker, jeune scientifique nerd.

Je n’ai rien à reprocher à ce film, il m’a donné tout ce que j’en attendais. J’ai eu ma dose d’action, d’excellentes images avec du très bon son et je me suis même marré plusieurs fois. Même en y étant préparé, il m’a impressionné. Je ne veux qu’une chose, repartir dans le Spider-Verse !

18 / 20

 

Musique

En ce moment, j’écoute toujours beaucoup de rap français avec l’album de Ninho sorti le 22 mars. Mais je n’ai pas encore eu le temps de le « digérer » correctement. J’y reviendrai le mois prochain. Y a aussi la sortie de l’album de PNL, un groupe que je n’aimais pas spécialement mais ils ont fait fort en mars avec le désormais célèbre clip « Au DD », 32 millions de vues sur Youtube en 10 jours !

 

A part ça, sinon, je suis revenu à du rock indé et j’ai aussi plongé dans l’univers musical de Spider-Man.

 

Beach House
7

Dream pop – Pop psychédélique – USA
7ème album studio – Sorti le 11 mai 2018

Chansons préférées : Pay No Mind – Lemon Glow – Dark Spring

Souvent cité dans les meilleurs albums de 2018, j’ai découvert Beach House et c’est vraiment aérien. Les Inrocks disent même qu’ils « flirtent avec la perfection » (source).

Le premier titre, Dark Spring, m’a beaucoup fait penser à Arcade Fire, période Neon Bible. Idem pour L’Inconnue. Faut dire que le duo est aussi composé d’une chanteuse d’origine française, Victoria Legrand, accompagné d’Alex Scally à la guitare et aux claviers.

 

Greta van Fleet
From The Fires

Hark-rock – USA
EP de 8 titres – Sorti le 10 novembre 2017
Chansons préférées : Safari Song – Back Smoke Rising – Highway Tune – Flower Power – Edge of Darkness… 

Ce groupe, je l’ai aussi découvert par surprise en regardant les vainqueurs des Grammys. Il a gagné le Grammy « Best Rock Album » en 2019 face à Fall Out Boy, Alice in Chains, Ghost et Weezer.

J’ai tout de suite accroché, c’est du bon vieux hard-rock à l’ancienne et pourtant, ce sont tous des petits jeunes. On y trouve trois frères et un copain : Joshua (22 ans – chanteur), Jake (22 – guitariste) et Samuel Kiszka (19 – bassiste) ainsi que Danny Wagner (20 – batteur). Ça sonne vraiment comme du son des 70’s. Ils sont d’ailleurs pas mal comparés à Led Zeppelin. Perso, je kiffe !

 

Greta van Fleet
Anthem of the Peaceful Army

Hark-rock – USA
1er album studio – Sorti le 19 octobre 2018
Chansons préférées : When the Curtains Falls – Age of Man – Watching Over – Lover, Leaver

Suite à leur EP, ils sont tout de suite suivis avec un album de 11 titres en 2018. C’est toujours aussi bien !

 

John Paesano
Marvel’s Spider-Man (Original Video Game Soundtrack)

Musique de jeu vidéo – USA
Sorti le 21 septembre 2018
Chansons préférées : The Golden Age – City of Hope – The Demon He Became

Je reste dans mon thème du mois. Si vous avez kiffé le jeu, vous aimerez réécouter cet album. Vraiment très bien produit, ça s’inspire évidemment des précédents travaux effectués sur les films. C’est épique !

Très bon boulot de John Paesano, qui a aussi bossé récemment sur la série Daredevil ou la saga de film du Labyrinthe.

https://www.youtube.com/watch?v=FRG0boR6Bsg

 

Collectif
Spider-Man: Into the Spider-Verse (Soundtrack)

Hip-hop – Pop – USA
Sorti le 14 décembre 2018
Chansons préférées : Elevate (DJ Khalil) – Hide (Juice WRLD) – What’s Up Danger (Blackway & Black Caviar) – Sunflower (Post Malone) – Way Up (Jaden Smith)

J’en ai parlé dans la partie ciné, j’ai adoré le film et j’ai kiffé la soundtrack ! Très hip-hop, je la trouve même meilleur que celle de Black Panther.

https://www.youtube.com/watch?v=ZBYrxJMiLL0

 

That’s all!

See you next month ! ;)

 

  3 commentaires

  1. 9 avril 2019 at 12 h 54 min

    Tu avances bien quand même dans La cité des miroirs.Côté séries, j’ai bien aimé Project Blue Book, mais une excellente série mais solide. En revanche, j’ai eu du mal à supporter Mimi (j’ai toujours un peu de mal à supporter le jeu de cette actrice).Et The Passage était très bien.Côté films, j’ai adoré Bohemian Rhapsody et je vais bientôt regarder Into the Spider-verse (merci les challenges Seriebox :))Bon mois d’avril !

    • baba
      12 avril 2019 at 9 h 01 min

      J’ai vérifié sur Seriebox, je ne l’ai pas vu dans grand chose Laura Mennell. Faut dire qu’elle a pas fait grand chose à part Alphas (que je n’ai pas vu).

      Tu fais bien de parler des challenges, c’est vrai que j’ai oublié de préciser que ces 2 films en faisaient parti, j’ai un peu avancé du coup :P
  2. 14 avril 2019 at 11 h 46 min

    Je ne me rappelle pas d’elle dans Alphas. Mais je l’ai vue dans Haven à l’automne et dans The Man in the High Castle il y a quelques semaines. Elle a toujours un peu la même façon doucereuse de parler en pendant la tête de côté, ça m’agace un peu !

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