Le mois de novembre, c’est celui de mon anniversaire et j’ai été bien gâté puisque finalement, j’ai eu la Switch ! Yeaaaah ! \o/

Ça a été une année vraiment technologique pour moi. En effet, je vous ai présenté ma nouvelle tablette Nvidia Shield en février, la PS4 Pro en mai et maintenant la console Nintendo. Je pourrais aussi parler de mon nouveau téléphone que j’ai reçu ce mois-ci. Mon vieux Nexus 5 acheté il y a 3 ans commençait à me lâcher, je suis passé au One Plus 5T et je peux vous dire que ça change la vie ! On sent bien la différence de puissance, tout est plus rapide, la batterie est robuste, les photos sont 10 fois plus belles et rapide à prendre, j’adore !

Mais passons au grand récapitulatif du mois !

Lectures

Non, rien de rien, non, je ne regrette rien.

Une vrai déception, qui s’explique par la partie suivante… J’ai passé beaucoup de temps à jouer :D

Jeux

Avec la Switch, j’ai eu 2 petits jeux, pas trop connus je pense (sic), Super Mario Odyssey et Splatoon 2 ! J’y ai pas encore énormément joué, j’en reparlerais dans un prochain récap.

Sur PC et PS4, j’ai touché à pas mal de jeux mais juste quelques heures par ci, par là.

J’ai acheté en soldes sur le PS Store, pour 8€, EA Sports UFC 2, un jeu de combat MMA mais c’est ultra chaud à maîtriser. J’ai aussi craqué pour Le Tour de France 2017, un jeu que j’avais déjà failli acheté en été. Là, il était à 10€, c’était cadeau.

Sur Steam, y avait un week-end gratuit pour tester Endless Space 2, le nouveau 4X du studio français Amplitude. En adepte de Stellaris, je ne pouvais pas passer à côté. J’ai joué 3h, j’ai adoré, je l’ai donc commandé direct à -50%. Je sens que ça va être un de mes grand jeux pour passer l’hiver. Il est assez simple à prendre en main, l’interface est magnifique, le système de quête donne envie de s’y investir, la musique est belle et c’est un jeu qui se joue à l’infini.

 

J’ai aussi recraqué sur Football Manager 2018. J’avais fait l’impasse sur le 2017 alors que je les avais tous depuis le 2013. Un peu de lassitude des mini-changements et l’envie de donner plus de temps pour tester d’autres jeux. Cette année, j’avais envie d’y retourner, ça me manquait après une année de sevrage. Comme grosse nouveauté, on peut noter qu’il y a un nouveau moteur 3D (mais bon, c’est pas du FIFA non plus…), un nouveau système de scouting, une gestion plus poussée de la cellule médicale ainsi qu’une gestion de l’état d’esprit du groupe, où il faut faire gaffe à pas froisser nos leaders et ceux qui les suivent.

 

Mafia III (2016)

Voilà, je l’ai fini, je peux enfin en parler ! C’est un jeu qui s’est plutôt fait démonter par la presse JV. Seulement 5/10 sur Gamekult et 14/20 sur jeuxvideo.com. Je m’attendais donc à un jeu plutôt moyen. Et en effet, il a beaucoup de tares. Déjà techniquement, c’est la chose qu’on remarque de suite, c’est imparfait, même pour un monde ouvert. Y a une mauvaise gestion de la lumière, de la profondeur de champ et des reflets. Des bugs impardonnables pour un jeu AAA. On n’a pas l’impression d’être sur un jeu fini. Il aurait bien mérité 1 an minimum de développement en plus.

Deuxième gros point noir, il cède à la collectionnite à la Ubi Soft, comme dans les Assassin’s Creed. Faut chopper énormément d’items pour débloquer d’autres choses et c’est ULTRA répétitif. Il faut toujours faire la même chose et en plus, c’est indiqué progressivement où aller les chercher. Il n’y a du coup aucun côté exploration, tout vous tombe dans le bec.

Même le scénario pâtit de ce problème là. On débloque les zones chacune leur tour et le schéma est toujours le même. On doit buter plusieurs sous-fifres pour accéder à la mission du sous-boss. Mission qui se retrouve toujours dans un bâtiment qu’on a déjà abordé via un sous-fifre, ça c’est quand même le truc le plus ridicule, que les devs auraient largement pu éviter. Ça fait redite et rallongement de la durée de vie pour rien.

Et c’est là où c’est vraiment dommage parce que le scénario du jeu est plutôt cool. L’écriture et l’interprétation des personnages sont excellentes. On a même droit à des acteurs secondaires plus ou moins connus des sériephiles qui donnent leur tête et leur voix, comme Brad Leland, le Buddy Garrity de Friday Night Lights, ou Erica Tazel qui a joué dans Justified et The Good Fight. On a aussi droit à une des meilleures bandes sons que j’ai entendu dans un jeu vidéo, avec du rock des années 60, notamment The Rolling Stones, Johnny Cash ou Creedence Clearwater Revival. Question gameplay, même si l’IA des adversaires est un peu trop bêbête, j’ai pris du plaisir dans les gunfights. C’est vraiment tous ces petits aspects qui m’ont donné envie de continuer et de finir ce jeu. J’y aurais quand même passer une quarantaine d’heures. Pour un jeu malade, c’est pas mal. C’est un peu mon No Man’s Sky de l’année.

 

 

Fortnite Battle Royale (2016)

Autre jeu découvert ce mois-ci, un jeu totalement gratuit sur PC mais aussi PS4, le support sur lequel j’y ai joué.

Après le succès monstre de PlayerUnknown’s Battlegrounds, le Battle Royale n°1, Epic Games s’est vite incrusté dans le game en sortant ce Fortnite version Battle Royale. Et ils ont bien fait, leur jeu original, à 40€ je crois, s’était quand même bien fait démonté par la presse et ne se vendait pas. Là, ce mode gratuit attire des millions de joueurs et ils doivent se faire des couilles en or avec les « micro »-transactions pour des skins à quelques dizaines d’euros.

Par rapport à H1Z1 ou PUBG, il a un ton beaucoup plus cartoon, un gameplay plus arcade et a l’originalité de garder son système de construction, qui permets de construire des murs en bois ou en briques autour de soi pour se protéger, ou encore accéder à des zones en hauteur. Encore faut-il récolter auparavant ces ressources sans se faire buter. Comme dans les autres BR, il faut aussi bien évidemment looter des armes, des munitions et de l’armure, étant donné que tu débarques sur la carte avec rien. Si vous avez vu Hunger Games, c’est la même chose.

Techniquement, il est au dessus de ses concurrents. Il demande peut-être moins de ressources vu qu’il ne fait pas dans le photo-réalisme mais au moins, il est stable et je n’ai pas remarqué beaucoup de bugs. Il propose en plus des mises à jours assez régulièrement pour améliorer le jeu et les devs ont même créé une fois un nouveau mode de jeu temporaire. En plus du mode solo, en duo ou en squad de 4, on pouvait récemment tester un mode 50 vs 50 ou chacun doit défendre son camp. Ça donnait des finaux épiques ! Bref, un des jeux que je retiendrais de cette année 2017 !

 

Films

Ghostbusters (2016) (SOS Fantômes)

Voilà, j’aurais rattrapé tous les films Ghostbusters, je suis à jour dans cette saga culte !

Mais personnellement, je ne suis pas fan de celle-ci. C’est sympa au mieux, j’adore la musique avec « Who you gonna call? » et les personnages mais question scénario, je m’ennuie. Et encore plus avec cet opus 2016.

Seul le dernier tiers du film a réussi à m’accrocher un peu. Sinon j’avais vraiment envie d’abandonné tellement c’était d’un humour lourd, mais looourd ! Melissa McCarthy est vraiment en roue-libre. A chaque fois, j’avais envie de crier « Mais pourquoi ??? » devant certains passages qui n’apportent absolument rien à l’histoire et semblent totalement improvisé.Du coup, y a bien une demi-heure de trop dans ce film ! A oublier très vite !

7 / 20

 

Hardcore Henry (2015)

Un film d’action russe tourné en vue FPS, voilà à quoi se résume Hardcore Henry. C’est assez gore, c’est déjanté et j’ai bien kiffé ! C’est pas aussi ouf que Crank avec Jason Statham mais je le range un peu dans la même catégorie. Pour un film tourné comme ça, j’ai même pas eu mal à la tête, j’ai trouvé ça très bien fait. Le film dure environ 1h30, juste le temps qu’il faut, ni trop long ni trop court. Sharlto Copley est excellent dans son rôle, il aime vraiment bien les rôles bizarres de SF (Chappie, Elysium, District 9…).

17 / 20

Mention particulière (TV – 2017)

Pour une fois, j’ai regardé avec ma chérie un téléfilm français diffusé sur TF1.

Le sujet : une jeune trisomique qui se lance le défi de passer son bac malgré les difficultés liés à sa condition.

J’ai bien aimé le ton assez frais, qui oscille entre émotion et comédie. Par contre, ça donne un peu un aspect édulcoré de la maladie du coup. Malgré tout, sous ce spectre divertissant, on comprend mieux celle-ci et le quotidien des familles. J’ai passé un bon petit moment devant ce film. Je reprocherais juste à TF1 la débilité de découper son téléfilm en 2 parties et de te mettre un trailer de la 2ème partie en plein milieu des pubs qui te spoile les scènes majeures du dernier acte :facepalm:

Sinon, Marie Dal Zotto, la comédienne trisomique qui joue le rôle principal, était vraiment parfaite dans son interprétation. Pour avoir vu des interviews d’elle, elle a une vue très lucide sur la vie, où elle dit notamment vouloir elle aussi prendre son indépendance et emménager avec son copain, même si ses parents ne veulent pas. Mais comme elle le dit, c’est en faisant des erreurs qu’on apprend.

16 / 20

 

Still Alice (2014)

Ici, on change totalement de sujet avec une autre maladie : Alzheimer. Un sujet que je connais maintenant un peu trop bien étant donné que la grand-mère de ma chérie en est atteinte. Je croise les doigts pour ne pas que ça m’arrive, ou à n’importe qui de mes proches.

Ce film est assez touchant, mais sans jamais tomber dans le pathos. Julianne Moore joue magnifiquement bien, c’est elle qui porte le film à elle toute seule. Faut dire que tout le scénario se base juste sur son histoire, une linguiste de 50 ans qui « attrape » Alzheimer assez tôt. A part son mari joué par Alec Baldwin (30 Rock), les personnages secondaires sont assez peu présents, notamment Kristen Stewart (Twilight) qui joue l’une de ses filles. J’ai trouvé que ça manquait un peu de réactions de la part d’un peu tout le monde, le film enchaîne assez vite toutes ses scènes et j’ai trouvé que la fin arrivait bizarrement. Ça se finit un peu comme ça, sans prévenir. 

16 / 20

 

Télé

Stranger Things saison 2

Comme un peu tout le monde, j’avais hâte de retrouver la surprise de l’été 2016 !

Après une première partie de saison 2 un peu plus poussive, sans être mauvaise non plus, la série a pris son envol et j’ai vraiment autant kiffé cette saison que la précédente. Les scénaristes ont quand même réussi à renouveler les intrigues, développer tous leurs personnages et en introduire même quelques nouveaux.

Les qualités visuelle et sonore de cette série sont toujours aussi phénoménales. Je pense qu’avec Better Call Saul, c’est l’une des plus belles séries actuelles. Niveau casting aussi, les petits jeunots font toujours le job, aucun n’a encore réussi à m’exaspérer. Je dirais même qu’ils sont tous géniaux. Idem pour le shérif Jim Hopper que j’adorais déjà. Même Winoda Ryder qui m’avait saoulé en saison 1 m’a paru mieux. Faut dire qu’elle n’a plus besoin de pleurnicher toutes les 5 minutes… Mais pour moi, la révélation de la saison, c’est Steve, joué par Joe Keery qui devient l’un des personnages les plus cool de la série après avoir été détesté l’année passée !

J’ai trop hâte de voir la saison 3 !

Appréciation : **** très bien

 

Marvel’s The Punisher saison 1

Techniquement, je l’ai fini le 1er décembre mais je vais compter la série dans mon mois de novembre. C’est simple, dans la seconde partie du mois, c’est la seule série que j’ai regardé ! Oui, il est loin le temps des 4 ou 5 épisodes regardés par jour. Actuellement, je ne regarde même plus aucune seule série en suivant la diffusion américaine. Je ne sais pas pourquoi, plus envie en ce moment… Je préfère regarder les séries du câble ou simplement Netflix. J’ai aussi une petite préférence maintenant à attendre que les saisons soient bouclées. On verra si ça change en 2018…

Bref, retour au Punisher. Et bien, comme pour son apparition dans Daredevil, Jon Bernthal a encore une fois tout défoncé. Pour un acteur que je détestais allègrement dans Walking Dead (ou alors, c’était le personnage qui faisait ça… faudrait peut-être que je me refasse les premières saisons…), c’est vraiment le retour en grâce. Il a vraiment le physique de l’emploi, sa voix aussi. Il en impose !

La saison a un peu été en dents de scie au début, on dirait qu’elle cherchait son style. Le season premiere par exemple, il est cool mais différent du reste. L’épisode dans la forêt filmé par un drone, il fait un peu amateur. Par contre, une fois la mi-saison passé, que tous les personnages secondaires ont été introduits, là ça commence à envoyer du lourd !

Son duo avec David Lieberman est intéressant. J’ai beaucoup aimé ce personnage, son histoire et son caractère, le trio à distance avec sa femme. J’ai aussi beaucoup aimé Dinah et Billy, les deux nouveaux personnages forts. Bref, une belle réussite !

Appréciation : **** très bien

 

Si je devais maintenant classer toutes les saisons du Marvel Netflix Universe, j’ai été voir mes moyennes de notes sur Seriebox, j’arrive à ça :

Série Saison Moyenne
Daredevil 1 17.9
Daredevil 2 17.5
The Punisher  1 17.3
Jessica Jones 1 17.1
Luke Cage 1 15.6
The Defenders 1 15.4
Iron Fist 1 15.2

 

Sans grande surprise, globalement, il y a un fossé entre le trio Daredevil / Punisher / Jessica Jones et les 2 autres personnages Luke Cage et Iron Fist.

 

See ya !

  2 commentaires

  1. 22 décembre 2017 at 21 h 27 min

    Dans le Ghostbusters version féminine c’est vrai que l’humour est ultra lourd. Heureusement qu’il y a Chris Hemsworth avec son air benêt et ses petites lunettes pour rattraper un peu :)
    J’ai beaucoup aimé Stranger Things que j’ai vue aussi dernièrement et j’ai plein de séries Netflix/Marvel à voir, à commencer par The Punisher. Je suis d’accord avec toi, Jon Bernthal était détestable dans The Walking Dead, et dans une autre série que j’avais vue (Eastwick) et excellent dans Daredevil donc ça ne vient pas de l’acteur mais des rôles qu’on lui donne :)
    Bonnes fêtes de Noël et de fin d’année !

    • baba
      22 décembre 2017 at 23 h 38 min

      Merci Frankie, de bonnes fêtes à toi aussi :)

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